Bien, il avait semblé que le Bal avait commencé depuis un petit moment, je souhaitais que tous ses membres soit présent avant moi, histoires que les présentations n'en soit que plus réjouissantes. J'avais quelques heures auparavant, assisté a un petit briefing en compagnie de notre cher maître et naturellement des hommes du Pactes. Ce dernier m'avait alors attrapé pour un échange privé sur la situation en ce monde supérieur. Le maître était impatient, il désirait scruter la moindre seconde de mon arrivée sur les lieux, et exigeait de moi que ma finesse je tarisse pas l'impression que je me devais de rendre a nos petit pensionnaires. J'assistais depuis le début au bal, j'étais la depuis mon petit dialogue avec Hiryuu Onigami, quelques minutes avant, je me trouvais volant derrières certains vitraux de la salle de bal.
Prêt a m'afficher dans mon élégance usuelle pour le bal, j'arborais un costume sombre, et dont la classe approchais celle d'un riche homme d'affaire. Cette fois c'était bon , tous les élèves étaient entrés dans le pensionnat, j'allais pouvoir entamer ce que je voulais depuis bien longtemps. Je déposais alors une main délicatement sur l'un des vitraux, une main qui semblait si mélancolique, comme si j'allais regretter ce qui se trouvait derrière cette mince paroi, pourtant il n'y avait la aucune nostalgie, aucun regret, ma vie était ce que j'en avait fait, et ce soir ne brulaient qu'en moi puissance et soif de soumission. La pression de ma main sur la vitre se fit plus pesante et la vitre semblait s'agiter. Pourtant cela rester invisible a l'œil nu, mais la puissance de l'âge se fit sentir, la vitre vieillissait subitement, et personne ne le voyait, jusqu'à ce que, d'infimes grains de poussières tombèrent de la vitre. La cascade s'accentua alors et un creux naquit dans la vitre, en l'espace d'une dizaine de seconde, elle mourut de vieillesse aussi incroyable que cela puisse t'être, j'entrais alors dans la salle, orné de deux ailes noires qui me portaient au dessus des gens. Une fois entré dans la salle, la fenêtre repris forme derrière moi, je n'avais appliqué ma puissance que pour passer au travers, je ne voulais pas dénaturer un château de si belle nature. J'espérais m'être fait remarqué par les élèves, mais je ne leur lançait pas le moindre regard. Je m'approchais alors d'un balcon qui donnais sur la salle, surement le meilleur endroit pour lancer mon discours. Mes ailes disparurent, et je finis par me poser tranquillement sur le socle, faisant face a tout le monde.

Mes chers élèves, permettez moi de me présenter a vous. Je suis votre nouvel hôte, William T. Walker pour vous servir. Laissez moi vous éclaircir les choses... J'ai été nommé pour prendre la place de votre ancien directeur, c'est pourquoi ce dernier nous a quitté … précipitamment pour me laisser immédiatement la Place. J'espère que chacun d'entre vous a bien profité de la période ou ce dernier était la car les temps vont changer. Sachez désormais que vous êtes tous naturellement sous mes ordres direct et qu'il m'appartiens de vous bannir du château dès que j'en aurais l'envie, je ne tolérerais évidemment aucun écart au règlement, Mon règlement ! Mes sanctions seront sans appel et mon jugement irréprochable, je vous promet du changement. Ce château n'a que trop longtemps sous estimé sa puissance, et il est temps qu'un vrai Leader le prenne en main. J'espère qu'aucun d'entre vous n'as de suggestion ?

Toute la salle semblait avoir réagit comme je le souhaitais, bon nombre de chuchotements commencèrent, les discussion fusèrent comme les questions que l'on pensait que je ne pouvait entendre. Je pouvais également sentir la colère monter en certains invité, quoi de plus normal pour un Démon que de ressentir le sentiment qui l'anime chez les autres. Je m'attendais a quelques écarts de violence, mais pour l'instant il semblait que les puissants cherchaient a se contrôler ce qui n'était pas plus mal en soit, je ne refuserais pas une démonstration pour calmer immédiatement les plus anarchistes du lot mais s'ils préféraient se taire cela m'arrangeais que plus.
Une question vint alors a mes oreilles, juste après mon discours en réalité, il s'agissait du vampire tant convoité par les ombres, Mike Fallow, ce dernier n'appréciait semble t'il pas l'idée que l'ancien directeur ai perdu sa place si rapidement. Je me devais bien de lui répondre....

Eh bien comme prévu tu ne fais pas dans demi mesure, laisse moi t'expliquer un peu mieux les choses alors... Le conseil occulte résponsable de l'internat sous ordre du ministère, m'a chargé de succéder a la direction de Hiryuu, si ce dernier n'a put vous prévenir... c'est parce qu'il est décédé la nuit dernière ... une crise cardiaque si mes sous venir son bon, alors il ne peux être la pour m'annoncer a vous. L'explication vous sied-elle mon cher surveillant ?

Bien sur je connaissait la vérité mais ne me permettais de la dévoiler, la panique n'était surement pas une bonne idée, même si je savais pertinemment que des élèves intelligent voire des membres du personnel de ce niveau culturel saurait bien que ces mots ne sont que supercherie. Cependant, je préférais me préparer a toute les éventualités. Des armes apparurent autour de moi, totalement invisibles, seul un vrai Démon de ma classe pourrait éventuellement les distinguer, je n'avais aucune envie de violence mais quelques membres de la salle commençaient a gagner en colère et je préférais me préparer a toute éventualité.

J'espère que cela résouds bon nombre de questions ici, s'il y en a d'autre je me ferais une joie d'y répondre...

Naturellement mon ton se faisait imposant et ironique, les élèves devaient comprendre qui j'étais et comment j'allais occuper les lieux alors je n'allais pas exhiber le moindre sentiments humains. De toute manière cela faisait bien longtemps que ces émotions avaient quitté mon coeur...

Que de nouveaux protagonistes, que de nouvelles interventions, mon arrivée commençait a susciter bon nombre de question, bon nombre de craintes, et ma fierté comme mon égo démoniaque ne cessaient de gagner en ampleur. Les chuchotements allaient nombreux dans la salle, personne ne semblait oser la voix, mon sang de Démon ne faisait que bouillonner a cette idée. Je put entendre quelques murmure venant de l'un des surveillant, je le connaissais bien, le Maître avait exigé qu'il soit surveillé, comme d'autre bien sur, mais il jouait un rôle fatidique dans ces desseins, ou alors il fallait que je m'en méfie, quoi que sur ce point, je restait peu atteins par cela.
C'est alors qu'une aura se manifesta, hors des lieux, un sang démoniaque, comme le miens gisait dans le coin, a priori, ce dernier se baladais autour de la salle, un démon étant toujours capable de sentir le sang de ses confrères, je me doutais que l'un comme l'autre nous nous étions trouvé. Je n'avais eu la chance d'hûmer cette odeur aux enfers, je devinait donc qu'il s'agissait d'un démon de bas niveau, ou du moins qu'il n'avais jamais pu découvrir, les lieux du Maître.

Une fenêtre s'ouvrit, des ailes squelettiques se firent apparaitre, ce n'était pas un Démon, mais bien Une, la jeune femme entra a mon niveau dans la salle, je ne lui afficha aucun regard, elle s'approcha alors de moi, allant même jusqu'a se poser a mes coté et marcher autour de moi, je savais bien qu'elle cherchait a jouer sur moi et tenter de me démontrer sa ténacité vis a vis de moi. Je ne bougeais pourtant toujours pas, mes lames invisibles flottaient entre elle et moi, elle ne pouvait pas les distinguer, a moins d'être un démon bien plus puissant que je ne le croyais. Elle voulais voir le corps de Bahamut ... Cela allait poser quelques problèmes, mais après tout si elle le souhaitais...

Je ne vois pas quel honneur il y a à observer la dépouille d'un dragon défunt, la preuve de ma présence ici n'est pas la preuve de sa mort, en qualité de démon tu sais très bien que mes paroles ne sont pas des paroles en l'air et tu sait également dans quel état il est. Cependant si tu veux vraiment le voir, il git a quelques kilomètres d'ici au nord, tu ne pourra pas le louper, un dragon de sa valeur prends de la place...

L'ambiance commençait enfin a évoluer, une nouvelle démone intervint a son tour, elle ne gobait naturellement pas l'excuse bidon de la mort de l'ancien Directeur, mais après tout, je ne me souciais guère de ce point, je ne voulais pas plus qu'ils se voilent derrière des illusions pathétique, et la rage ambiante de la salle provoquée par ce mensonge montait a mes narines comme un nectar des plus divins. Je remarquais alors au loin, l'un des membres qui ne pouvais plus tenir en place. Auro Drake, l'un des loups garous du domaine, il semblait que sa nature ne Loup ne parvenait plus a le garder calme et prenait clairement le dessus. Son costume explosa lentement, dévoilé par une musculature nouvelle et au combien graçieuse, les Loups étaient adorés au enfers, il s'agissait de grand et majestueux gardiens, mais sur terre, il ne semblait pas a même de se controler et cela me désolait. La tenue humaine disparue, l'homme se trouvait a nu, enfin l'homme, désormais il n'y avais plus qu'un Loup noir et puissant, ce dernier poussa un hurlement, plutôt impressionnant, pour un humain, mais pas pour un démon, encore moins pour un homme du pacte.

Eh bien alors mon petit, tu es les crocs ? Tu ne peux plus tenir face a l'oiseau noir qui te domine ?

Je ne me trompais guère, le Loup pris de toute sa puissance un appuie colossal sur ses pattes arrières, le vent naquit dans la salle comme pour accompagner la lancée animale, les poils basculèrent en arrière, et la bête surgit. D'un ultime bond, il bascula au dessus du balcon, juste au niveau de mon visage comme prêt a m'arracher la gorge.
Malheureusement pour lui, ma main se tenait face a lui, cette dernière, comme la moitié droite de mon visage était désormais squelettique, mon pouvoir entrait en action. Le loup se figea dans les airs, prisonnier de mon étreinte puissante. Plus rien ne le liait au sol et pourtant il ne bougeais plus. En l'espace de quelques secondes, il vieillit, les poils blanchirent, le souffle s'accéléra aigris par la vieillesse, et la mort frappa. Le corps devint squelettique, et pourtant Auro vivait toujours, son corps mourrait mais pas son esprit, tel était le pouvoir de la vieillesse, il ressentait les moindres failles de son corps, qui commençait a partir en poussière sur quelques bords...

Qu'est ce que cela fait de vieillir ? Quel est le ressentit de n'avoir plus rien sur le corps, de sentir chaque parcelle de son corps s'effriter, as tu aimé ressentir le dernier battement de ton coeur ?

D'un geste de la main, j'envoyais valser la dépouille qui une fois au sol retrouva son âge d'origine, tout cela n'était qu'une illusion pour calmer les esprit et apposer une fois pour toute mon autorité et fixer ma puissance face au membres.

J'espère que cette démonstration aura su calmer les esprits rebelles, je ne tolérerais pas de tel écarts a l'avenir...

Se divertir.
Après quelques heures de supplice, beaucoup partent à l’aventure, rencontrer du beau monde. Ils ont sûrement raison. Profitez de votre jeunesse.

La soirée avait été mise en place, comme il se doit. Les jeunes filles s’étaient faites belle, c’est une évidence. Pour les hommes, un soupçon d’élégance. Les femme, quelques touches de parfum au creux du cou, elles étaient parées. Les enfants, une robe flamboyante, démesurée, vermeille, de quoi se faire remarquer. D’autres avaient misé sur la sobriété, rares d’entres-elles à n’avoir besoin d’artifices. Chacun un masque sur mesure. Devenir un être féerique le temps d’un soir, pour le plus grand plaisir des enfants. Et puis, quelques princesses venues d’un autre monde. Elles n’existent pas. Elle viendront éclairer vos soirées.
Tous ce beau monde entassé au sein d’une pièce somptueuse. Aux ramures d’or et d’argent, quelques colonnes imposantes et la chaleur d’une cheminée ardente. Quelques illuminations délicates, le feu de bougies dorée brillant doucement suspendus à leur chandelier. Un plafond invisible, presque les étoiles étincelant doucement au-dessus de votre tête. Quelques lignes de lumière dans les tons solaires venant mourir sur un mur exquisément tapissé. Une porte d’ébène, doucement soulignée par de fines rayures ambrées. Quelques volutes sur la poignée, l’éclat du cuivre polie se reflétant doucement sur le sol lustré. Une ombre, le bois pivote, une lumière s’efface, une silhouette voluptueuse revêtant le sol lisse.

C’est un signe de regret. On baisse la garde, salut bassement la dame en face de vous. Les yeux touchent le sol, et les joues brûlent. Le rose les prend et elles sourient, cachant leur bouche par un éventail de fortune. Malgré tout, malgré leurs dires, elles pardonnent. Parce qu’au fond, jamais ne pourront réellement leur en vouloir. C’est alors que les larmes coulent. Pitoyable, mais elles sont heureuse. Ce n’est pas la peine de leur tenir rigueur. Femme et complexe. Femme et complexe. Inutile d’essayer de comprendre. Messieurs, laissez les faire, elles détiennent les clefs de tout.

Une entrée singulière, personne n’avait à y prêter attention. Venir, acquis de conscience. Une façon de passer le temps. Autant profiter du dernier jour. Accompagner sa Muse, c’était une excuse digne de sa venue. Elles viendrons toutes les deux l’une pour l’autre. Comme au bon vieux temps. C’était un château où les songes ne peuvent être altérés, alors autant rêver en paix. Ne pas prêter attentions aux Autres, autant vivre pour soi. Se ne sont que de vaines paroles, qui ne prennent un sens qu’une fois l’acte franchi. Alors, mesdames et messieurs, ne pensez plus et admirer. Les rêve prendra fin tôt ou tard. A cette heure, il est temps d’oublier.

Une description en bonne et dû forme. Certainement. Un avatar à la hauteur de l’éditeur. Le peintre ne s’est pas perdu en chemin. Pas cette fois.
Sur une peau blafarde, quelques mèches volages, rouges. Surmontée par un haut de forme noir, velours. Une robe immense, confectionnée avec soin, de ses main. Un corsé long, pâle, réajustant à merveille les anches de sa détentrice. Quelques ornements crèmes histoire de parer l’encolure, quelques fragments rouges dissimulés ici et là, d’autres plus petits, argenté, quelques boutons, et tenir tout ça en place. Plus bas, patchwork. De nouveaux morceaux éparses : dentelle volubile, tulle subtile, velours sensuel, douce mousseline et autres matériaux tout aussi séduisants. Effet graphique, quelques rouages dissimulés. Effet mécanique. Objet hétéroclites rassemblés avec raffinement. Le grenier du lycée.
Sinon. Rien n’a changé. Toujours la même peau, toujours les mêmes yeux. Rien n’a changé. Certain reconnaîtrons leurs marques. D’autres, se tairons. Beaucoup n’oseront s’approcher, peu ferons le premier pas. C’est un accoutrement, pour la forme. Une robe de passage, inutile de le préciser. Une œuvre parmi tant d’autres. Esprit du détenteur que l’on voit à travers les mailles. Sinon. Rien n’a changé.

Et elle entre. Un pas sur le sol. Tout est près. Presque tout le monde est là. Elle n’en a que faire. Elle l’attend, les attend, sa présence n’est que superflu. Une excuse pour qu’elle fasse semblant. Encore une fois. Une excuse pour qu’un nouveau sourire se dessine sur les lèvres de sa Muse. Une nouvelle excuse pour vivre. La dernière journée, avant de tout quitter. Juste prier pour qu’elle ne flanche pas. Pour qu’elle n’oublie pas qu’après ça, il n’y aura plus rien. C’était une journée auprès d’un long fleuve. Comme à l’habitude. Toi dansant dans une robe fictive, faussement plaquée contre ton buste. Tu m’imaginais riant, croisant ton regard. Et pourtant rien n’a changé. Les blés ont perdu de leur éclat pour devenir un sol tangible. Les susurrements de la rivière, quelques fontaines dissimulées ici et là. Le soleil remplacé par un lustre d’argent, aussi flamboyant que lui. Ne t’en fait pas, rien n’a changé. Le cris des oiseaux ne te rappellerons pas indéfiniment qui tu es. Alors danse. Et surtout, ne t’arrête pas.

Tu disais ‘pour la vie’. Mais, tu ne sais pas qu’à travers ces paroles, c’est mon âme que tu as scellé, au fer blanc.

[“All is stay the same,
Nothing even changes,
English summer rain,
Seens the last for all years”]


Les portes se referment, la vue vacille. De nouvelles personnes, de nouveaux lieux. Tout semble ne jamais avoir existé. Et puis, une estrade. Un homme. A côté. Toi. Plus rien ne semble exister, il n'y a plus que toi. Tu tournes, autours de lui. Et tu resplendis. Je souris, dans quoi tu t'es encore fourré. Cet homme leur fond peur. Ils se taisent. Ils ont surement raison. Alors, je fais de même, et j'observe. Tu es grande, il n'y a pas de raison d'avoir peur.
Les yeux se lèvent, à nouveau. Et se posent sur toi. Également. Coléreux. Rien ne passe. Des images et tes yeux. J'oublie. Rien ne s'est passé. Tous se taisent. Ils ont peur.
Ils ont peur et je me tais.
Il ont peur. Et toi, tu es resplendissante.
Tu es resplendissante. Comme toujours.

["I'm in the basement, you're in the sky,
I'm in the basement baby, drop on by.
I'm in the basement, you're in the sky,
I'm in the basement baby, drop on by."]

Bon nombres de menaces gisèrent dans la salle, la colère s'amplifiait en chaque instant, ma soif de pouvoir également, la haine accentuait mon envie de puissance, c'était un cercle plus que vicieux en ce moment et j'adulais cette situation. Ma démonstration avait semble-t'il suffit a calmer bon nombre d'esprit mais pas tous. Quelques un se croyait encore en mesure de me tenir tête, une jeune vampire sortie du lot par exemple, pour tenter un discours mauvais a mon égards, c'était sur un ton glacial et sec qu'elle tentait de me réduire a néant. Moi un roi ? il n'y avait la que sottise, le roi n'est certainement pas en ces lieux et ne se déplacerais jamais pour de tels sous fifres. Je ne me berçais pas dans une quelconque illusion non plus, la véritable farce, la véritable illusion de ces lieux sont l'enceinte elle même, les mur matériels de ce chateaux, il n'existe que pour cacher ces gens au monde et leur cacher la vrai nature du monde, c'est là la plus belle et la plus grand illusion.
Malgré cela, je n'avais adressé aucun regard a la jeune femme qui avait du parole de ce genre, son attention ne m'interessait guère et je savais qu'elle comprendrais au gré de mon mépris qu'il était totalement inutile de tenter de briser ma fierté ou même mon égo.

Bien il semblerais que personne n'ai de remarque Concrète a transmettre...

En réalité si, Mike intervint de nouveau. Le professeur me tint un nouveau discours, il souhaitait éviter que les hostilité ne viennent détruire une telle soirée, et que la colère ne gonfle dans la salle. Son discours était naturellement ornée de paroles futiles, mais il cherchait a calmer les esprit dans les deux sens. Pour ma part, j'avais ordre de ne provoquer aucun débordement dans les premiers jours, et si jamais je venais a désobéir a la règle fixé par le Maître, je ne voulais imaginer le chatiment encouru...

Qu'il en soit ainsi, mais sachez que la notion de respect et sur le point de changer, sachez tous, qu'elle n'a qu'un sens unique et que vous me le devez tandis que je vous octroie ce que je désir. Je ne ferais pas dans la tendresse, il va falloir vous y faire, si vous voulez me hair, haissez moi, si vous voulez me craindre ou me fuir, faites le, si vous voulez me rejoindre, joignez moi. Mais sachez que si la mort viens un jour a s'abattre sur ces lieux, ce ne sera pas mon sang qu'elle viendra prendre, mais l'un d'entre vous...

Sur ces mots, je passais une main sur ma chevelure pour plaquer mes cheveux en arrière, ma main retrouva en même temps son apparence humaine, de même que mon visage. Je me retournais lentement de l'estrade et quittait la salle de bal par l'immense double porte qui se trouvait dans mon dos. Laissant les "festivités" reprendres...

*Profitez bien de cette soirée et de la joie qu'elle peut encore apporter... cela ne durera que peu de temps...*