Han Milovitch Todd [Professeur de Philosophie]

Sujet: Han Milovitch Todd [Professeur de Philosophie] Dim 21 Mar 2010 - 15:46

Nom : Todd

Prénom : Han Milovitch

Age : Inconnu – D’apparence 47 ans.

Race : Peut-on parler de Démon lorsqu’on parle du diable personnifié ?

Profession : Professeur de Philosophie

Description physique [3 lignes] : Loin d’être désavantageux, il n’en est pas pour le moins un sex-symbol. Il possède un certain charme, ici on pourrait même dire le charme du diable. Son visage a gardé des traits enfantins assez trompeurs, c’est la première chose qu’il lui a plu dans ce visage qu’il a volé à un autre. Des yeux virant du noisettes au noir, d’une grande profondeur, et qui masque le personnage d’une certaine innocence. Il a une grande assurance, et sa se voit dans sa démarche tranquille, sa tenue droite et ses gestes souples. Pour lui, ses vêtements sont tout bêtement ordinaires, mais les élèves remarqueront parfois, que lorsqu’il n’est pas en costard-cravate, que ses chemises ne sont pas vraiment d’époque, de même que pour son veston. Notre personnage doit un peu peiné à rattraper son temps. Plutôt grand, d’une musculature bien proportionnée, pour le nécessaire. Ses mains sont assez puissantes et pourtant elles sont minutieuses et agréables à regarder travailler.

Description du caractère [4 lignes] : Caractère qu’on peut considérer comme indescriptible et ambigu, notre professeur est dotée d’une fausse âme. Il sourit, fait de l’humour (Assez spécial, mais après c’est une affaire de goût) et ne se porte jamais responsable de ses fautes. Il peut vous être antipathique comme intéressant. Il sera sans doute près à aider son prochain si cela peut avoir pour lui un quelconque intérêt. Fin manipulateur, son passe temps est d’influencer les esprits. Un esprit décalé étant largement compensé par un sadisme rare et pur. Son intérêt est porté sur la gente féminine et sur tous les péchés existants. Son humour et son cynisme le font passer pour un homme dépourvu de tout sens logique. Mais attention, il est en vérité diaboliquement intelligent. Il est invincible. Et il le sait.

Pouvoirs [3 max] : Force au combat irréelle : Il est possible que vous vous battiez contre le Malin ! Ou à sa guise, contre un miroir ! Cela rejoint deux des pouvoirs des membres du Pacte Maudit.

Contrôle de l’être (Esprit et Corps) : Cela peut être très douloureux ou/et très compliqué à vivre. Son influence naturelle est une chose à part. Cela rejoint trois des pouvoirs des membres du Pacte Maudit.

Changement d’apparence : Son apparence initiale est celle qu’il a choisit. Il n’a pas d’apparence propre, il peut être vous comme vos amis. (D’ailleurs personne ne sait si son apparence initiale est la sienne ou celle d’un parfait inconnu. Si c’est la deuxième option, il ne doit plus être de ce monde, en ce cas, l’affaire est réglée !)

Histoire [7 lignes] : Résumé : Oulala que c’est compliqué ! Personne ne sait d’où il vient et ou il va. Certains l’ont connu assez pour ne plus jamais vouloir le voir, d’autre n’ont pas eu la « chance » de le rencontrer. Il disait qu’il était né un jour de pluie, il ne disait pas où, quand, ni de quelle mère. Il considère -et il n’est pas le seul- sa présence comme divine. Et personne ne le contredirait, puisque personne ne sait qui est ses parents. Il aime à raconter que son enfance fut malheureuse et que son père le battait au premier bar du coin autant qu’il aime à expliquer aux gens d’Eglise qu’il était amoureux de sa mère. Certains, aux oreilles bien tendues savent alors qu’il s’invente une vie. En fait, seul lui sait d’où il vient. Et encore, on ne peut pas le prouver ! Peut être après tout qu’il ne le sait pas. Notre diable s’aperçut bien vite, dès l’âge de raison, qu’il avait un immense pouvoir d’influence, mais aussi des dons inexpliqué à utiliser sans modération. Il savait alors qu’il était l’incarnation du diable sur terre, et qu’enfin sa venue allait à jamais changer le monde. Un jour, il eut la vision d’une âme en détresse, qui ne voulait rien d’autre qu’une victoire, ce pour quoi il était près à vendre son âme. Notre homme s’est tout simplement dit, qu’il était temps de faire affaire. Il entreprit de s’entourer d’hommes qui n’avaient aucune considération pour la valeur humaine. Des hommes qui avaient tout perdus et qui n’avait plus aucunes valeurs. Il donna à chacun la force nécessaire à un messager du chaos. Il contrôlait ces 5 pouvoirs, mais qui en fait avait ce même but : La destruction et le chaos.

Rp sur l'entrée dans le lycée [10 lignes] : Il était pareil à un enfant qu’on emmenait au cirque. Paradoxalement, cette image n’était pas vraiment exagéré, cette école devait être très divertissante, bourrée de clown et d’animaux. Brrr ! Il en frémissait d’impatience ! On allait enfin pouvoir reprendre du service. C’est sûr qu’attendre 5 siècles avant de faire ce qu’il faisait le mieux (A vous de voir) c’était un peu frustrant ! Ya bien quelques occasions par ci par là mais que de bagatelles… Là, c’était le coup du siècle ! Là c’était la vie ! Si on peut dire…

Le chauffeur n’avait pas l’air de partager l’enthousiasme apparent du nouveau professeur de Lettres. Il avait l’air bien sympathique, mais un peu fou-fou sur les bords. Pour ne pas dire fou furieux, car énormément de gens ne se doutait pas un instant quel était le degré de folie du malin. Et énormément de gens ne voudraient pas le savoir. Parce que cet homme que le chauffeur emmenait à cette école perdue en forêt de Transylvanie était très dangereux, et le chauffeur lui le voyait simplement comme un imbécile heureux. Un optimiste, puisque cela faisait plus de 4 heures qu’ils parcouraient les routes où la neige faisait ses adieux pour laisser place à un ciel bleu et dégagé. Dur métier, mais pour se donner du courage, il jetait sans cesse un œil au compteur, et la somme devenait plus qu’intéressante, bien évidemment. Coup de freins, enfin arrivé. Le nouveau professeur de Lettres sortit en toute hâte, et savoura cet air d’oppression qui parcourait déjà l’air. Willy Walker devait avoir accompli sa tâche avec succès ! Il avait bien fait de répondre à son appel, jusqu’à maintenant il n’avait jamais eu à le regretter. Il était comme ça, une âme charitable, toujours près à aider en échange d’une âme. Il lui fallait bien ça…

Ce petit air oppressant le rendait encore plus enthousiaste. Il préférait l’ombre au soleil, mais il n’allait pas chipoter : Quand il voyait les quelques splendides créatures de rêves en tenue d’été (Alors que ce n’était pas la saison) sur son passage, il remerciait la météo.
Tout en appréciant au mieux la vue, il se remémorait sa couverture, histoire d’être au top avec ses élèves. Notre homme se réjouissait à l’avance d’avoir des élèves, cela devait être amusant, d’en avoir. Leur donner des petits noms… Noter au mieux les filles, pour éviter le sexisme… Toujours aussi impartial et juste, oui certainement. Oh ! Très beau château qu’il avait devant les yeux. Les chateaux étaient les édifices auxquels il affectionnait le plus. C’est avec satisfaction personnelle qu’il posa le pied sur le marbre ancien du hall et avec délicatesse et discrétion qu’il demanda à une grosse dame, dont la tache était de nettoyer les locaux, où pouvait-il rejoindre le directeur.

Quelques pas, une certaine attente avant de frapper à la porte de William Walker. Parce qu’il était sûr que William sentait sa présence, ainsi, il frappa, et n’attendant point de réponses, entra dans le bureau le plus normalement du monde, comme le plus mortel des hommes. Il s’assied et adressa un regard accompagné d’un sourire à l’homme en face de lui, qui lui ne pouvait que se taire, et ne pas croiser son regard sans y être invité.

-Je suis venu un peu plus tôt que prévu, pour superviser les évènements.

Il l’invita par simple influence d’esprit à un regard. Et dans ses yeux, Han Milovitch Todd, le nouveau professeur de lettres, le diable, put voir une profonde adoration.

Autre(s) chose(s) sur votre personnage [Facultatif] : « La meilleure façon de résister à la tentation c’est d’y céder », comme l’a dit un grand sage…

Code [dans le règlement] : Fantastic

Comment avez-vous connu le forum? : Huhu... On est obligé de répondre ou… ?