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 How are you sweety ? [ Hebi Mokona ]

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Moonlight Scape
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MessageSujet: How are you sweety ? [ Hebi Mokona ]   How are you sweety ? [ Hebi Mokona ] EmptyDim 7 Nov 2010 - 15:59

Il faisait de plus en plus froid, la Transylvanie n'était pas connue pour être un pays chaud certes, mais cet hiver s'annonçait plus froid que les autres. Moon' sortit de son sommeil, elle avait encore rêvée d'elle , Syndel. Elle soupira en s'asseyant dans son lit. Elle prit un long moment avant de se lever, elle devait remettre ses idées au clair, se réveiller totalement. Ce ne fût pas très long non, une ou deux minutes mais pour elle ça parut une éternité. Elle se leva et se dirigea vers son miroir pour se regarder , les cheveux en bataille lui allait bien voilà qu'elle se complimentait elle même sur son physique. Elle poussa un gros soupir d'exaspération. Parfois il lui arrivait de se demander comment elle serait si elle avait été un homme. Oui un vrai sans seins avec une chose en plus entre les jambes...elle prit alors une paire de chaussette et la glissa dans son boxer avant de rire légèrement, elle avait l'air bête comme ça. Elle avait la chance au moins de ne pas être à découvert lorsqu'elle était excitée, pas comme les hommes qui eux devait se cacher si c'était non voulut. Elle réfléchit alors aux avantages et désavantages d'être un homme et d'être une femme.Eux avaient la chance de ne pas souffrir tous les mois , elles avaient la chance de ne pas pratiquement mourir si on tapait entre leurs jambes.


Elle retira la fameuse paire de chaussette et partit se doucher, une douche bien chaude et relaxante, une douce qui elle dura une éternité, bon ok je mens, elle dura une trentaine de minutes à tout casser. Elle sortit et retourna à sa chambre pour s'habiller , elle se demanda alors ce qu'elle pourrait faire aujourd'hui. Comment allait-elle s'occuper? Elle regarde en direction de sa fenêtre et aperçus un pot avec des fleurs, elle se souvint alors du bal d'halloween et d'une personne qui avait aussi intrigué son esprit. Une femme, oui encore et toujours des femmes, elle était vêtue d'une habit d'hôpital, non pas ceux des infirmières et docteurs, non , un habit de patient et dans ses bras se trouvait un enfant. Elle avait eut l'occasion de lui parler et de faire connaissance , elle se souvint de son prénom : Hebi. Elle se demanda alors comment elle allait, depuis ce soir d'halloween , elle ne l'avait pas revue. Elle réfléchit et sourit, elle avait trouvé comment s'occuper aujourd'hui et en même temps retrouver quelqu'un . Elle enfila son manteau et mit son écharpe avant de prendre son mp3 . Elle se rendit en vile à pieds comme d'habitude.



Où pouvait donc se trouver une femme qui avait été vêtue de vêtements d'hôpitaux et qui avait eut un enfant? Question bête, elle ne pouvait être qu'à l'endroit où elle avait eut ces fameux 'vêtements'. Sur le chemin en direction de l'hôpital, elle croisa un fleuriste. Elle ne pouvait dignement pas arriver les mains vides , c'était une question de principes. Elle s'arrêta donc et acheta des fleurs, un bouquet composé de Giroflées Mauve qui représentait la famille , d'Hémérocalles bleue qui signifiait la persévérance ainsi que que de Lys blanc symbole de l'innocence, de la naissance et de la beauté. Toutes ses fleurs feraient un beau bouquet pour la jeune mère. Le vendeur lui sourit en déclarant que 'la p'tite dame qui recevrait ce cadeau serait la plus heureuse des femmes.' Moon' le regarda d'un air sceptique , fallait-il déjà qu'elle comprenne le langage des fleurs , de plus qu'entendait t-il par "la plus heureuse des femmes" il ne croyait tout de même pas que.... La jeune androgyne se contenta de prendre le bouquet et de payer avant de le remercier, cependant avant de sortir de la boutique elle déclara tout n accentuant sur les mots féminins.

"Je suis certaiNE que mon amie les appréciera."

Elle se remit en chemin et décida alors de s'arrêter dans une chocolaterie, elle et sa galanterie finiraient par la ruiner... Elle en ressortit donc avec une petite boite de chocolat et reprit sa marche. Quoi encore ?! Elle s'arrêta devant une boutique de jouets, ah non pas encore.... Et bien si. Elle s'arrêta cette fois-ci afin d'acheter une peluche, faire des cadeaux à la jeune mère était fort gentil, mais il lui fallait aussi en offrir à l'enfant. Sa gentillesse la perdrait. Cette fois-ci , plus rien ne la détourna du chemin de l'hôpital. Elle y entra doucement, l'odeur si particulière du lieu vint alors chatouiller son odorat. Elle s'avança d'un pas lent vers le comptoir d'accueil et demanda à voir Mademoiselle Hebi Mokona. On lui donna le numéro de la chambre et elle s'en alla après avoir remercier l'hôtesse d'accueil. Elle décida de prendre les escaliers, montant doucement les enfin, jusqu'au moment ou elle décida de les monter quatre par quatre comme si elle avait été pressée de voir la jeune femme, ce qui n'était pas totalement faux.


Arrivant devant la fameuse chambre elle soupira légèrement, débarquer comme ça avec des cadeaux par milliers... Une infirmière toussa derrière elle pour savoir ce qu'elle faisait ici, elle sursauta et se retourna pour dire quelle venait rendre visite à la jeune femme de cette chambre. Voyant les cadeaux, l'infirmière sourit comme l'avait fait le vendeur. Moon' n'en crut alors pas ses oreilles lorsque l'infirmière lui dit que sa femme serait heureuse de recevoir ces cadeaux et son enfant aussi. SA femme? SON enfant? Non non il y avait erreur sur la personne là ! Elle ressemblait beaucoup à un homme mais de là a dire que... Bon ok ok elle ressemblait vraiment énormément à un homme... Elle ne dit rien et entra doucement dans la pièce après avoir frappé à la porte. Afin de ne pas voir l'infirmière elle referma tout de suite derrière lle avant de s'avancer doucement. Elle regarda la jeune femme qui était allongée dans son lit.

"Hum... Bonjour Hebi."

Moon' sourit très légèrement n faisant un signe de sa main libre. Comment allait-elle lui donner toutes ces choses qu'elle avait dans les bras?... Elle posa doucement les cadeaux et retira son manteau qu'elle posa sur le dossier d'une chaise, elle reprit ses dons et vint s'asseoir près d'Hebi . Elle lui tendit alors doucement les cadeaux.

"Tiens, j'ai pensé que ça ne serai pas très gentil d'arriver sans rien alors j'ai fais quelques petits achats...D'après le fleuriste tu devrait être ravie des fleurs et d'après l'infirmière ces cadeaux ferraient sûrement plaisir à Ma femme et Mon enfant.... "

Déclara t-elle avant de pousser un gros soupir.

"Je ressemble tellement à un homme?...Enfin euh c'pas le problème. Comment tu te sens?... Et comment va la petite puce?..."
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MessageSujet: Re: How are you sweety ? [ Hebi Mokona ]   How are you sweety ? [ Hebi Mokona ] EmptyLun 8 Nov 2010 - 10:08

Libération.

Depuis quelques jours, la libération. Ma libération. Mon escapade au bal m'a affaiblie, mais peu importe. Je suis sortie. J'ai présenté mon enfant. Vu, encore, de nouvelles choses. Ta connaissance, vos connaissances. Fushi n'était pas là, pas près de moi. Depuis sans doute mon escapade avec Han. Il a dû le savoir, forcément. Il a dû le savoir, ce qu'il s'était passé, quelqu'un lui a dit, quelqu'un lui a forcément dit. C'est l'heure de rêver, de voir de nouvelles choses, nouvelle vision. Amusement. Allongée dans ce lit aux draps trop propres, trop blancs. Cette pièce sent mauvais les médicaments. Ils ont essayé de m'enlever Enora, pour étudier ses yeux. Vérifier qu'elle n'était pas aveugle. Vérifier qu'elle n'avait pas d'anomalie. Mon enfant est saine, les gars. Elle est juste démoniaque. Cette nuit, elle a pleuré. Ses yeux étaient emplis d'une terreur sans pareille. La première fois, sans doute, que j'ai entendu des sanglots dans la voix de mon bébé. La première fois depuis une semaine. Je dois rester un mois à l'hôpital, pour recouvrer toutes mes forces. C'est trop, bien trop. Je me sens en forme, alors soyez sympas, foutez moi la paix. En plus, je m'emmerde. Je m'emmerde, ouais. Enora passe la plupart de ses journées à dormir, bercée dans le sommeil démoniaque. Je ne sais pas de quoi elle rêve, cette enfant. Elle fait des cauchemars. Je voudrais te libérer, mon amour, te libérer de cette emprise que les ombres ont sur toi. Lorsque tes yeux se sont posés sur moi, cette nuit, tu m'as fixée comme si j'étais un monstre. Ils me demandaient pourquoi. Tu avais raison, Lucifer, tu avais raison sur toute la ligne. Tu avais raison, de dire que j'étais vouée à l'échec. Mais Enora est mon enfant. Je la libèrerai, je vous le promets, je la libèrerai de ces ombres qui la dévorent. Je te protègerai, ma belle, au péril de ma vie s'il le faut. Je t'aimerai, ne te quitterai jamais, ne t'abandonnerai pas. Je te ferai découvrir le monde, ses beautés, je te cacherai ses vices. Je te ferais découvrir un univers utopique, que tu pourras parcourir sans peur de croiser quelque créature maléfique. Mon ange, me belle. Mon amour. Ce matin, je suis trop faible pour te prendre dans mes bras. Les médecins ne comprennent pas, pourquoi des entailles sanguinolentes parcourent mes bras. Ils me prennent pour une dépressive, ils m'ont retiré tout objet coupant des mains. Ils ont voulu me présenter à un psy, à qui j'ai jeté mon assiette de nourriture à la figure. Je ne pleure pas, je ne suis pas malheureuse. Je me sens bien, en la présence de ma fille. Hier, l'infirmière s'est étonnée en voyant les doses de lait maternel à la poubelle. Elle ne s'en nourrit pas, lui ais-je dit. Elle ne se nourrit pas de lait. Cette fille, c'était une enfant, si jeune. Elle ne comprit pas tout de suite. Je l'aime bien. Elle ne doit pas avoir plus de vingt deux ans. Elle est assez jeune pour comprendre. J'ai nourri Enora sous ses yeux, coupant mon bras avec mes ongles, entaillant ma chair, faisant couler le sang. Et elle a compris. Elle ne me donne à présent que des doses de lait maternel vide. Elle n'en a parlé à personne. Elle est assez jeune pour comprendre, et elle a compris. Alitée, je me sens faible. Je viens de la nourrir, mon bras saigne. La faiblesse est encore forte. Trop forte pour que je puisse bouger. Trop puissante pour que je puisse me lever. Je ne peux pas, tout simplement. J'ai besoin de sang, mais ne dit rien. Je ne bouge pas, immobile, encore. Je ne sais pas combien de temps ça va durer. L'infirmière m'a apporté à manger, mais je n'arrive pas à avaler un gramme de cette nourriture insipide. Je ne veux pas. Je veux rentrer. Rentrer au château. Voir Fushi. Izumi. Qu'ils la serrent, qu'ils l'aiment. Ce bal fut ma libération, une libération. Pour toujours et à jamais. Observation. Prise de valeur, de contact. Encore, avec toi mon amour. Et me laisser envoyer.

On frappe à la porte. Je ne comprends pas. Mon coeur bat à la chamade. C'est toi n'est-ce pas ? Dis moi que c'est toi. Dis moi que c'est toi, qui viens me voir, me rendre visite, poser tes lèvres sur les miennes et prendre cette enfant que tu as engendrée dans les bras. Mais soudain, une autre image me vient en tête. Blonde. Une femme blonde. Des yeux farouches, sauvages. Sombres. Un visage fin, déchiré par la haine et l'inquiétude. Des vêtements courts, provocateurs. Un visage à faire tomber le plus vaniteux des princes. Elle est belle, cette femme. Depuis un certain temps. Elle est si belle, cette femme. Douce Immortelle. Beauté chasseresse, pauvre hère en quête de nouvelles choses. Tu es un élève, tu es autre chose. Pourquoi ? Que fais-tu ici ? Pourquoi demeures-tu dans mon esprit, qui es-tu pour t'immiscer ainsi dans mon imaginaire ? Que puis-je pour toi, ma douce ? Un sourire discret qui éclaire ton visage. Des mots tendres. Non, ne pas y penser. Je t'attends, mon amour, je veux que ça soit toi. Mais ce n'est pas toi qui arrive. Par la porte, elle est là. Elle, il, peu d'importance. Je sais que c'est elle, pour lui avoir touché deux mots lors du bal de noël. Cette jeune fille respire la sérénité et la douceur. Dans un rêve, elle est dans un rêve, et elle semble ne pas vouloir en sortir. Douce inconnue, ton nom va me revenir. Moonlight. Moonlight Scape. Elégante jeune femme. Elle pourrait s'y méprendre à un homme, mais elle est trop délicate. Elle est trop belle, pour être un homme. Une ébauche de poitrine, de ravissants cheveux noirs. Moonlight, tu en imposes, mine de rien. Dans tes bras, une pile de cadeaux. Ouvrir de grands yeux étonnés. Ne crois pas que je n'ai pas vu ton regard sur Vungh, l'autre soir. Tu semblais vouloir la dévorer entièrement. Cette fille est une succube. Elle respire l'élégance, la domination. Que feras-tu, si elle te repousse ? Car sans doute te repoussera-t-elle, Moon'. Comme elle en a sans doute trop repoussé. Alors pourquoi tout ceci ? Tu prends ton temps. Je suis allongée, faible, ne pouvant pas bouger. Tu t'approches, me tends les cadeaux, que j'attrape faiblement. Fleurs, sucreries. Tu as pensé à tout. Un vrai homme galant, dis moi. Une peluche. Douceur. Un sourire se dessine sur mon visage, tandis que tu ouvres la bouche pour parler. Tu es grande, bien plus grande que moi. Grande, mince, et sans doute seule ta poitrine te permettrait de te distinguer d'un éphèbe. Peu importe. Tu es belle, Moonlight Scape. Homme ou femme, quelle importance ? Jeune louve. L'odeur de chien qui s'assimile dans mes narines, me rappelant de trop mauvais souvenirs. Elégante, trop élégante. Je fais tache, avec ma chemise de nuit tachée de sang. J'écarte mes bras ensanglantés des fleurs, dont je ne comprends pas le langage. Mais tout porte à croire qu'elles sont chargées de compliment aussi sucrés que leur parfum.

"Tu ressembles à un homme parce que tu veux ressembler à un homme. Consciemment ou inconsciemment. Mais tu sais... on s'en fout de ce que peuvent dire les autres."

Un petit rire faible s'échappant de ma gorge. Encore un, toujours un. Eternel, ambivalent. Pour toujours et à jamais. Regarder la vérité en face, et lui cracher au visage. Ecriture élégante.

"Tu n'aurais pas dû, Moonlight... mais merci beaucoup."

Poser les fleurs sur la table de chevet, ne pas s'en tenir. Ouvrir la boite de chocolats, d'une main tremblante. Du sucre. Tu arrives à point nommé, ma belle, et sache que tu as affaire à quelqu'un qui mettra un point d'honneur à finir cette boite le plus vite possible. Prendre Enora dans mes bras, avec quelques difficultés, la tenir. Ses yeux d'une blancheur immaculée brillent. Elle ne dormait pas. Elle écoutait, comme elle m'écoute toujours. Un regard mystérieux, pour un nouveau-né. Comme si elle savait déjà tout alors qu'en vérité, rien n'est plus dur que de tout dévoiler. Belle demoiselle. Je te tends ma fille, je sais que tu en prendra soin. Enora. Elle s'appelle Enora. Tiens, prends la.

"Elle fait des cauchemars. Mais ce n'est pas étonnant. Tiens, prends-la, elle est très sage. Et prends un chocolat."

Te sourire avec douceur. Mon regard faible. Te filer la boite. Merci, Moonlight. Merci d'être là...
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Moonlight Scape
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MessageSujet: Re: How are you sweety ? [ Hebi Mokona ]   How are you sweety ? [ Hebi Mokona ] EmptyDim 14 Nov 2010 - 12:26

Elle te regarde, elle t'observe le moindre de tes gestes , le moindre petit sourire, le moindre signe de faiblesse. Tu es faible en cet instant Hebi, oui tu es faible, affaiblie par la perte de sang. Oui elle à remarqué, elle l'a sentit aussi, ces entailles sur tes bras, ce rouge sur tes vêtements, c'est ton sang n'est-ce pas Hebi? Et ton enfant, il sent lui aussi cette odeur, cette magnifique odeur qui chatouille les narines de l'androgyne. Elle n'est pas un vampire, mais un loup-garou, pourtant cette odeur de sang la fait saliver , elle se contrôle oui, comme elle l'a toujours fait dans ce genre de situation. Tu lui tend ton enfant Hebi, as-tu assez confiance en cette louve pour lui tendre la chair de ta chair, le sang de ton sang? L'androgyne approche ses bras prend l'enfant avec douceur,elle ne voudrait pas l'effrayer, c'est une petite fille, la petite Enora, comme tu l'as dis Hebi, elle est sage, elle ne bouge quasiment pas.

Ses yeux brillent, oui ils brillent, ils sont bien étrange, d'un blanc limpides, ton enfant serait-elle aveugle Hebi? Ou bien est-ce un tout autre mal qui la ronge?.. Moonlight observe ton enfant oui, de son regard grisâtre elle la regarde, elle se sent étrange, cette petite dégage quelque chose, qui est donc cette enfant Hebi? La louve sourit quand tu lui tend un chocolat, ayant les bras occupés à tenir ton enfant elle tend ses lèvres afin de venir le prendre sans être brusque, elle ne voudrait pas effrayer Enora , non.

"C'est tout à fait normal de venir t'apporter et apporter à ton enfant quelque cadeau pour vous souhaiter un bon rétablissement."

Elle te souris après cette phrase, elle sourit beaucoup plus depuis le bal, que lui arrive t-il donc? ça tu ne peux le savoir, tu ne la connait que depuis cet instant, l'instant ou elle avait déjà croisé le chemin de Syndel. Tu as sans doute remarquer son regard, peut-être même deviné ses envies, mais sais tu réellement ce qu'il se passe au fond de son cœur, au fond de son être?Tu es belle Hebi, malgré ce corps qui semble si faible et tes bras inondés de ton propre sang, tu es belle oui. Ton sourire a quelque chose de chaleureux, tu as d l'amour à donner oui, de la tendresse, ton enfant, Enora, Sera certainement heureuse et fière d'avoir une mère comme toi. Oui elle aura la chance de t'avoir pour mère, d'avoir une mère attentive qui veille à son bien être et son bonheur. Comme la louve se doutait, ton enfant relâche la même odeur qu ton sang, elle s'approche pour déposer un baiser sur le front d'Enora, c'est là qu'elle a sentit l'odeur du sang s'évader de la petite bouche de ta petite fille. Ta fille est un vampire peut-être? Cette odeur d'hémoglobine lui monte doucement à la tête, elle te regarde oui ses paupières semblent devenir plus étroites, il faut qu'elle résiste à cette envie, mais c'est bien trop dur.

Ne te laissant pas le temps de réagir, elle garde ton enfant en sécurité dans ses bras, ne t'en fais pas elle ne sera pas blessée, elle a réussi à garder Enora contre elle avec un seul de ses bras, de son bras maintenant libre elle attrape le tien sans te faire mal et vient porter tes plaies à sa bouche. Elle n'est pas une vampire non, mais ton sang l'attire comme si cela avait été le cas, elle lèche avec douceur tes plaies, le goût de ton sang lui plait, elle frisonne à ce goût, elle n'avait pas léché de sang depuis un moment, ton sang est si bon pour elle. Pourtant elle s'arrête oui, elle se rend compte de ce qu'elle fait et redresse son visage en te regardant. Moonlight baisse doucement les yeux en direction du sol , sa voix semble timide, elle est gênée et mal à l'aise d'avoir fait un tel geste.

"Pardon Hebi...Je..."





[HRP : désolée si la forme d'écriture n'est plus la même, j'essaie un nouveau style si ça te gêne je peux retourner à l'ancien ]
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MessageSujet: Re: How are you sweety ? [ Hebi Mokona ]   How are you sweety ? [ Hebi Mokona ] Empty

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