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 Second cour d'Histoire [CLOS]

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Auro Drake
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MessageSujet: Second cour d'Histoire [CLOS]   Second cour d'Histoire [CLOS] EmptyVen 18 Juin 2010 - 20:14

(Drake n'a pas été présent en cour depuis environ un mois, après à vous de gérer ça selon votre date d'arrivé. Et une fois qu'on aura fait un tour complet, et que j'aurais donc posté mon second message. Si vous voulez vous intégrer au cour, n'oubliez pas de demander la permission de la personne qui aurait normalement dù poster. C'est la moindre des politesses.)



Drake se leva en grognant. Avec l'été qui s'approchait le soleil se levait plus tôt. Cela rendait fou de joie certain et d'autre non. Auro faisait parti de la marge comprise par le « non ».
Il envoya voler la carcasse putrescente, qui datait déjà de quelque jour, et en arracha un bout pour se le coincer entre les dents. Il était certes en avance, mais la plupart des cours d'histoires se déroulaient lors du premier horaire disponible, il avait donc intérêt à ne pas trop trainer.
Grattant sa barbe naissante il enfila un vieux jeans qui trainait par là et fouilla dans un monticule de choses diverse pour trouver un haut portable.
La petite raie de lumière qui filtrait par la jointures des volets lui permettait largement de voir l'intégralité de sa chambre. Et aussi d'en contempler tout le désastre. Il souleva d'un air dubitatif un cadavre de bouteille remplit de poussière et ... sans doute d'un autre truc. Il l'envoya voler à travers la pièce d'un air totalement désintéresse.
Dans sa tête Wolffette renifla. Auro l'imaginait parfaitement roulé en boule en train d'ouvrir un large œil jaune pour regarder ce qu'il se passait autour d'elle avant de se rendormir. Seulement elle habitait dans son corps, et donc elle n'ouvrait rien pour ne rien voir.
Il décala un autre cadavre, plus gros cette fois, sans doute un cerf, et plus ancien aussi, vue l'odeur. Avant de tirer sa sacoche vers lui. Elle était sale et tachée. Normal, il ne l'avait pas utilisé depuis au moins deux mois. De toute façon il doutait qu'un élève soit venu le réclamer chez le ''directeur''.
Il laissa retomber la sacoche, elle n'était pas des plus importante, non, à vrai dire il cherchait autre chose. Chose qu'il finit par débusquer au fond de son armoire. Un Blended Malt Scotch Whisky encore jeune. Mais il s'en contenterait. Il le déboucha d'un coups de dent et en avala une grande rasade.
- Pas de chance, plus de réserve sa veut dire retour au boulot. La voix nasillarde et encore endormie de la louve retentit dans son esprit.
- Et jusqu'à preuve du contraire, ça veut aussi dire que tu m'accompagne. Il se doutait bien que la louve le savait et que cela ne la dérangeait nullement. Mais il n'avait aucune idée de ce qu'il pourrait répondre d'autre. D'ailleurs la louve ne prêta aucune attention à sa phrase.
- Fin de la réclusion. Début du travaille. On va revoir Nagaïwa, Hebi et tous les autres. Le ton de sa voix était plutôt rêveur.
- Ils te manquait ? Et c'est Nagaïa pas Nagaïwa. En tous cas une chose est sûr, ils ne lui manquaient pas c'était sans doute
réciproque.
- Non, non, c'est juste que même si je t'apprécie plus que tous Auro, au bout d'un mois en ta compagnie ...C'est certes pas un besoin impérieux, plutôt une sorte de curiosité mal placé. Ou un besoin de distraction autre que ta face de zombie et le goût du sang. Auro secoua la tête et se gratta les cheveux.
- Ben au moins cette situation rend une personne heureuse. Puis il jeta la bouteille vide au loin et se releva. C'est l'heure.
En repassant devant la première carcasse, il se baissa pour en arracher un autre bout. L'odeur de la viande faisandé lui emplissait les narines. Donnant la nausée à ses quelques restes d'humain. Il ouvrit la porte de sa chambre, sentant sous ses doigts les longues entailles qu'il avait lui même faites.
La lumière du dehors l'aveugla et il dut se protéger les yeux avec sa main pour réussir à distinguer quelque chose. Il fit quelques pas et fut pris d'une violent nausée, pas à cause de la viande cette fois-ci. Il poussa un grognement rude et se força à avancer malgré les gémissements de son corps.
Le chemin jusqu'à la salle fut douloureux, mais il ne croisa personne. Il devait encore être trop tôt.
Une fois la porte franchi il se dirigea vers une fenêtre et vida une partie de ses tripes. Si les fluides qui étaient ressortis avait été ambré, il n'aurait même pas trouvé cela anormal.
- Une douche gratuite pour celui ou celle qui était en dessous. La remarque prouvait que la louve était maintenant complètement réveillé.
Auro fronça les sourcilles. Il aurait peut-être du attendre avant de venir. Enfin, de toute façon c'était trop tard. Il releva la tête, la respiration sifflante et écarquilla les yeux.
Deux pieds se balançait sous ce qui semblait être un cerisier. Comme souvent elle avait un livre dans les mains. Drake plissa les yeux pour la distinguer mieux. Mais qui était-elle ? Depuis le début de l'année elle était là, toujours présente. Et les vagues tentative de recherche sur sa personne c'était toute soldé par un échec.
Une autre violente nausée coupa court à ses interrogation et il se battit en rentraite à l'intérieur de la salle de cours, tremblant et respirant avec difficulté. Il était sûr au moins d'une chose. Ce n'était pas entièrement à cause de sa nausée.
Quand sa respiration ce fut calmé. Il se releva en s'aidant du mur et se rapprocha de son bureau. Les élève allait arriver, espérant encore une fois qu'il serait absent. Une déception partagé par les deux partis. Mais il lui restait encore suffisamment de temps.
Il ouvrit son tiroir et fouilla dedans. Normalement personne n'avait touché à cette réserve. Il ressortit triomphant une bouteille. Effectivement personne n'y avait touché. Il déboucha tranquillement et s'installa confortablement en attendant ses premiers élèves. Apparemment il y avait des nouveaux. Avait-il pris option histoire ? Drake espérait que non.


Dernière édition par Auro Drake le Lun 8 Oct 2012 - 19:29, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Second cour d'Histoire [CLOS]   Second cour d'Histoire [CLOS] EmptySam 19 Juin 2010 - 16:44

Il était bien tôt quand je sautais de mon lit. J'étais de bonne humeur. Je ne savais pas vraiment pourquoi mais j'étais de bonne humeur. Je pris une longue douche bien chaude pour finir de me réveiller. Je sortis et attrapais un jeans propre et un haut à manche longue. Il ne faisait pas encore assez chaud pour sortir les tee-shirt. Je décidais de laissez mes cheveux détacher. Je les gardait souvent attachés et cela les abîmés.

Quand je jetais un coup d'oeil à la chambre, je vis Hebi toujours en train de dormir. J'avais une envie folle de la réveiller en lui sautant dessus. Mais je me doutais que si je faisait ça, ça risquait de ne pas lui plaire. Tans pis. J'attrapais mon sac de cours en sautillant et sortis mon emploie du temps. Mais dès que je vu le cours auquel je devais me rendre ma bonne humeur disparue. Histoire. Je n'avais jamais aimé ce cours. Je m'ennuyais à chaque cours quel que soit le prof. Je sortis de la chambre en trainant les pieds.

Comme j'étais en avance, je me rendis dans le parc pour profiter des rayons du soleil. Je m'assis au pied d'un arbre et laissais le soleil me caresser doucement la peau. Cela faisait un bien fou. Je fermais les yeux et écoutais le chant joyeux des oiseaux. J'entendais plusieurs bruits venant de ces petits animaux à plumes. Tout d'abord leur chant, mais aussi les bruit des ailes lorsqu'ils sont en plein vol, et quand ils sont dans leur nid à tourner en rond en faisant frotter la paille ou les branches sèches. C'était vraiment reposant et j'oubliais que je devais me rendre en cours d'histoire.

Je restais assise là, pendant plus d'une demi heure avant de regarder ma montre et de m'apercevoir que mon cours débutait dans dix minutes. Je me levais et me dépêchais d'aller à la salle d'histoire. En trente secondes montre en main j'étais devant la salle. Je frappais et entrais. Je saluais le professeur et allais m'assoir ni trop devant ni trop derrière mais sur un des côtés. C'était une de mes places favorites. Je sortis de quoi écrire et attendis le début du cours.
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MessageSujet: Re: Second cour d'Histoire [CLOS]   Second cour d'Histoire [CLOS] EmptySam 19 Juin 2010 - 17:33

Battement de coeur. Un battement, puis deux, puis trois. Le corps qui se met en mouvement, dans mes oreilles. Bom, bom, bom, bom... Il fait frais ce matin. Je le sens en moi, dans mon corps. Les cours, dure routine que de retrouver, chaque jour, les mêmes idiots imbus d'eux même, il fait frais, je veux rester au lit. Laissez moi dormir, en paix, juste... juste ce sommeil qui me prend tous les soirs et m'abandonne chaque matin, relation impévisible mais tellement douce, agréable et fraîche. Un brin de lumière. Si tendre, si paisible, si affectueux. Je veux continuer, encore, à dormir et à rêver. Rêver de quoi, jamais on ne s'en souvient. Mais pousser le paroxysme de Morphée jusqu'à en toucher les bras, tranquillement et tendrement. Dormir, ce doux divertissement. Chaque jour est une découverte nouvelle. On frôle les draps noirs, plongés dans la lente agonie et dans la chaleur. On se plonge dans les délices de l'oreiller qui nous attrape dans son étreinte édredonique. On s'étire comme un chat, lentement et doucement. On s'ouvre dans un univers créé par nous et par nos souvenirs journaliers. Le monde du rêve, fantastique, vraiment. Un peuple de poésie et d'étrangeté. Tiens, ça me rappelle quelque chose. S'adonner à la rêverie. Tout doit être parfait pour moi, la jeune princesse d'amour et de douceur. Mais non. En fait, si je m'endors, c'est pour ne plus jamais me réveiller. Pour avoir ce mince espoir. M'enfoncer dans les Limbes. Et la ramener, petite peluche, endormie dans mes bras. Trouver la faille dans les Dieux et l'exploiter pour la sortir de là. Une faille au chaos. Tuer. Et la ramener, pour moi, et moi seule. Eris.

Tu cherches quoi exactement autre que ta propre destruction. Heureusement que le ridicule ne tue pas je crois bien.

Lui faire fermer sa grande gueule, à celle là. Dès le matin elle m'embrouille l'esprit de mauvaises paroles, me sussure à l'oreille la cruauté et le sadisme. Il y a quelque chose que je méprise, en elle. Elle est la partie de mon âme qui hait et qui est cruelle. Je veux la détruire. La détruire, par pitié. On y songera. Ivresse de la veille. J'ai besoin de lui et de ses bras, encore une fois, sentir son étreinte enserrer mon corps. Un jour peut-être. Les rêves sont souvent faits pour en rester. Sinon ils perdent tout leur charme. Sur mes yeux, des croûtes de ce qui s'est déversé cette nuit. Je me suis réveillée, un nombre incalculable de fois, ruisselante de sueur, et de larmes. Elle me manque. Si peu de temps s'est écoulé. Elle est encore là-bas, dans la caverne. Je dois faire quelque chose, pour elle. Pour son amour. Pour qu'elle pardonne ma sottise, qu'elle chante avec moi la douceur et l'amour comme avant. Pour que je puisse m'endormir encore, dans l'herbe, le nez voyageant dans son cou à la fourrure si douce, si fournie. Plus jamais, maintenant, plus jamais je ne pourrais. Dans mon coeur, une douleur indescriptible. Une souffrance à en couper le souffle. Je veux mourir. Encore. Je veux mourir, laissez-moi la rejoindre, pitié. Laissez moi aller la chercher. Il me suffira de fermer les yeux et de la chercher, dans le noir. Apercevoir la lueur bleutée de ses yeux tendres et félins. Je veux encore caresser son pelage et lui confier mes douleurs. Ma soeur, mon amie. Ma tendre muse à la patte de soie. S'il vous plaît ne me laissez pas comme ça. Promettez moi de me la rendre. Toi. Rends-là moi. Hadès.

Ne te laisse pas abattre. La mort n'est qu'une bête promesse.


La main attrape une robe qui passe par là. Noire, quelques dentelles sur les bras. Pas de bas résilles, de bêtes collants noirs. J'ai pas envie d'être belle. Pas aujourd'hui, pas maintenant. Mon âme, rongée par la douleur. Je ne dois plus y penser. Pas encore. Pas maintenant. Je dois être belle. Pour la combler, pour elle. Elle me regarde, peut-être, quelque part. Allons, restons calme. Il faut continuer, règner sur la douleur. Des rangers montantes, ces éternelles godasses dont je ne me sépare jamais. Je les aime, logique. Mais tant de choses que j'aime disparaissent... Des mitaines noires, une petite touche de mascara, une vulgaire couette. J'espère que c'est waterproof. Parce que sinon, on est pas dans la merde. Sortir de la chambre. Izumi est déjà partie en cours. Trop empressée, trop entêtée. Elle fait jamais gaffe à rien elle est sans cesse dans la lune. L'esprit pas assez rationnel. Il faut faire mieux que ça, plus, encore, avancer. Un monstre au double visage ? Non. Juste le miroir. Mon regard est toujours un peu plus dur qu'il ne doit l'être, en temps normal. J'imagine qu'Aura s'amuse bien, en faisant ça. Pauvre folle. Plongée dans les abysses, et dans les ténèbres. Tout ce qu'elle aime c'est semer le désordre, et tuer, encore, tuer. Voir la lumière s'allumer dans un oeil, le ver manger l'autre goulûment. Tu es comme ça. Schizophrène, paranoïaque. Folle à lier. Je le suis aussi, en somme. Tuer pour le plaisir de tuer, user d'un corps et l'abandonner ensuite, à sa triste situation. Tu es le monstre au double corps. On ne peut pas tuer ce qui est déjà mort.
Hel.

Pour avoir un monde il faut s'en plonger.


Pas de petit dèj, trop à la bourre, pas assez faim. Premier cours. Histoire. J'ignore pourquoi j'ai eu la connerie de prendre ça comme option. Un saoulard. Pourquoi chercher simple alors qu'on peut faire compliqué, avec lui. Ma démarche, lente. Trop lente. Presser le pas ? Non, pas assez éveillée. Dans ma tête, une image, une seule. Un visage. Une tête ronde, mais fine. Blanche, mais noire. Des yeux bleus, mais sombres d'inquiétude. Et de chagrin. Oh, ma Blanche. Séparés, pour mieux nous retrouver. Tu me laisses ici, prisonnière d'une âme qui ne demande qu'à récupérer son dû. Je souffre, j'ai peur, mal. Je veux continuer. Encore. S'il vous plaît. Poursuivre cette voie. Regarder le soleil. Avec elle. Rendez la moi. Une phrase que je ne ferai que répéter. Tant qu'elle ne sera pas là, son long corps chaud de félin pressé contre moi. Alors, pousser la porte, mécanique, essuyer les dernières traces de larmes sur notre visage. Le voir, lui, son air lourdaud. Il s'est encore bourré la gueule. On dirait qu'il a gerbé. Mais un trouble réside, aussi, en lui. Quoi j'en sais rien. Mais on le saura bien assez tôt. La moindre de ses failles. Je la trouverai. Je sais qu'elle m'écoute, elle, dans sa tête. Mais je dois l'ignorer; Un peu.
Satan.

"Bonjour professeur. 'Lut Wolfette."


Avancer vers une table à l'arrière. Je suis pas d'humeur à écouter ses conneries. Je viens en touriste. Mais je dois pas être la seule. Izumi, sagement assise à une table, les affaires sorties, une vraie petite élève modèle. Pourquoi je sais pas, mais j'ai envie de gerber moi aussi. La voix d'Aura. Résonne dans ma tête.


Tu n'es qu'un pantin articulé, tu ne recules devant rien et sais faire face à l'adversité. Mais un jour. Le Démon te prendra.

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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: Second cour d'Histoire [CLOS]   Second cour d'Histoire [CLOS] EmptyDim 20 Juin 2010 - 17:29

Boum.

- Mmh..Ouille.

Sur le certain sol d'un certaine chambre gisait une jolie rousse à moitié endormie. Si tout se serait passé bien à 11h00, cette même rousse aurait encore été en train de dormir. eh bien non. Le destin a décidé de la faire tomber de son lit, ce qui eu pour effet de la sortir de son sommeil. Comme c'est dommage. Il va falloir qu'elle aille en cours d'histoire finalement. Elle avait beau connaître assez bien son histoire et sa géographie, il fallait qu'elle aille en cours.
Elle essaya de se dire que ce n'était pas si inutile que ça.


* Après tout, je pourrais enfin rencontrer un prof, et d'autre élève, ce qui serait pas mal pour ma vie sociale au château. *

Elle réussit à se mettre de bonne humeur. Comment faisait-elle ? Bah, après tout, c'était dans son caractère. Souriante. Gentille. Parfois folle, dans le bon sens, c'est-à-dire qu'elle pouvait sortir des choses étranges, de temps à autres. Mais c'était plutôt drôle, la plupart du temps. Drôle. Joueuse. Gamine. Mais pas trop non plus. Perspicace. Cultivée. Modeste. Anastasie, quoi.
Elle s'habilla d'une petit robe rose, cintrée à la taille par un ruban blanc après avoir prit sa douche, s'être coiffée et tout le toutim.
Elle prit son sac de cours et parcourut le château jusqu'aux salles de classe. Arrivée à la salle adéquate, elle poussa la porte, puis entra.


- Bonjour..

Sans faire vraiment attention au personnes présentes, elle s'installa au deuxième rang et sortit quelques affaires.


Dernière édition par Anastasie Almeida le Ven 5 Nov 2010 - 16:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Second cour d'Histoire [CLOS]   Second cour d'Histoire [CLOS] EmptyMer 23 Juin 2010 - 16:08

Un rayon de soleil. Raven ouvre les yeux. Elle s'étire, baille. Se lève. Ce matin, elle a cours. Sa camarade de chambre dors. Elle se prépare vite pour ne pas la réveiller. Elle sors s'ahère, va déjeuner. Fait sa vie, comme tout le monde, tout les matins. Encore, et encore. Quelle monotonie!
Elle éspérait que ce cours allait un peu aggayer sa journée. Elle aimait bien, l'histoire, elle trouvait cela interressant. C'est important après tout de connaitre quelques bases de notre civilisation. Cela peut expliquer quelque fois, le comportement de certaines personnes. Enfin bref, elle était plus ou moins pressée d'assister à ce cours.
Quand elle revint dans sa chambre, pour prendre ses affaires, les fenêtre était ouvertes et la lumière baignait dans la pièce. Hana n'était plus là.

Tant pis. Elle ramassa un cahier, quelques stylo, trois quatres feuilles et mis le tout dans un sac. Bon elle était prête maintenant, elle pouvait donc y aller.
Elle se rendit au premier étage. Vers la salle, donc, d'histoire. Elle était un peu en avance mais il y avait quand même des élèves présents. Elle remarqua Izumi, a qui elle sourit rapidement. Puis, au fond elle vit Hebi. Elle baissa la tête. Elle n'osait pas la regarder, elle se sentait trop coupable de ce qui aitait arrivé à Mana, même si ce n'était pas vraiment de se faute.
C'aurait été tellement plus simple d'utiliser la magie noire. Mais, cette décision était revenue à la démone. C'était son choix. Et malgré son effort pour trouver les bonnes plantes, son combat avec sa mère avait durer trop longtemps. Mana avait donné sa vie. Juste pour sauver la sienne. Elle n'aurait jamais dû. Raven se serait enfuie. Enfin, elle aurait essayé. Toujours est-il qu'elle serait reconnaissante à Hebi jusqu'à la mort, et qu'elle n'oublierait jamais ce que son homologue animal à fait pour elle.
Il y avait une troisième fille qu'elle ne connaissait pas, qui était assise au deuxième rang. Raven lui adressa un sourire à elle aussi.
Elle avança dans la classe. Elle dit un distrait
" Bonjour. " au professeur.

Et elle partit s'asseoir au quatrième rang, environ au milieu. Une fois assise elle sortit en vrac sur la table, les stylos et les feuilles avec le cahier. Elle laissa tomber son sac à terre une fois le tout finit.
Puis elle se tourna vers la fenêtre, et laissa son regard se perdre dans le décord, en attendant l'arrivée des autres élèves.


Dernière édition par Raven Shadow le Dim 27 Juin 2010 - 13:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Second cour d'Histoire [CLOS]   Second cour d'Histoire [CLOS] EmptyJeu 24 Juin 2010 - 22:20


*Mise en route systeme*
*
*
*
Mrrrr...........
*enclanchement secteurs auxiliaires.*
*
Une paupiere s'entrouvre paresseusement.
*Analyse entrées exterieur*
Noir. Mmmrrrr???
Noir... Chaud et...Bruyant....Bruyant bruyant bruyant!!!!
La main esquisse un geste flasque, sans conviction, tente de se soulevait...renonce. Mruuuuu...Trop bruyant. Agitement incommodé des oreilles, la main repart se trainant lamentablement sur le sol en reptation hésitante. Sa trajectoire est incertaine, indécise, elle s'assoupi parfois avant de repartir lourdement dans le sens contraire. Soudain un obstacle. Arret. La main tate la surface de maniere inquisitrice, c'est mou, c'est doux...Oreillé...
Mouvement larvaire pour amené le saint graal la ou il aurrait toujours du se situé, entre moi, et le bruit. Sauvée...
La main lache prise et retombe inanimé sur la moquette avant de s'émitouflé a nouveau dans la couette.
*
*
*
*Arret veille prolongée*
*
Bruyant...Ce bruit assourdisant, strident, insuportable qui hurle dans vos oreille certain matin...J'ouvre les yeux, frustrée. Qui ose un tel affront? A travers l'épais duvet blanc, la lumiere filtre a peine. J'abandonne ma position foetal, prend mes aises, enfoui encore ma tete dans l'oreillé en essayant de me persuader que je n'entend pas ce beuglemen gresilant dans mes oreilles. Bordel comment on sort de se...a si la. Une trouée dans la couverture, a travers on apercoit un monde sauvage et inconnu, un monde ou des pieds de meubles s'eleves entre des amas de fringues éparsse. Mais pas de pied humain, pas ceux de l'enfoiré qui vien de saturée mon reve de bruit incongru et désagréable.
Je m'acroupie, toujours recouverte par le duvet. Trrrooooouuuuvéééé!!!!!!A travers l'amas de meches eparsse qui m'emprisonne j'arrive a glissé un bras vers l'exterieur vers la chose qui va bientot rendre l'ame pour avoir defié ma divine personne. Le truc rectangulaire que la table cache a mes yeux mais pas a mes mains. Toute resistance est veine, tu cedera sous le poids de mes griffe!!! Je me met a quatre patte saisi a deux main la chose qui plus haut ne veut pas laché prise et tire de toute mes force dessu. Un craquement immonde se fait entendre, Tendis qu'un pavée noir prolongé d'un fil recouvert de platre m'apparait.
Plus de bruit.
You Win!!!!!!!!!!! Bon c'est quoi ce.....truc...
Le retourne dans tout les sens, appuy sur tout les boutons, annotés dans une langue inconnu. Des chiffres rouges clignote bizzarement.
Innn...Je le laisse pendu quelques instants en mettant de petits coup de griffe intriguée sur la surface dur de l'engin. Aucune réaction. Sa doit etre mort...de toute façon c'est pas comestible.
La chose s'écrase violamaent contre le mur dans mon dos. Ainsi finirront tout aopossant au regime totalitaire du sommeil!!Mouhahahahaaaa!!
Tien les filles sont partie...bon si on allait mangée? Des fondants au chocolat avec des fraises et des...
"...ffrr....
She Was More Like A Beauty Queen...frrrrr"
?immobilisation totale, la peur monte ...comment..a t'il...survécu... Se retournée lentement...voila...
"From A Movie Scene I Said, Don't Mind!!!!!!!!!!"
Nonononon!!!!Se levait en trombe, s'emmélé les pied sans ses cheveux se ratrapé in extremis
"But What Do You Mean I am The One!!!!!"
Tomber a genoux, prendre le boitié a deux mains le frapper le plus fort possible contre le sol de toute ses forces
"Nan! Nan!!!Naaannnn!!!Creeeveeeee!!!!Crevecrevecreve!!!!!"
"Who Will Dance!!! On The ffrrrrrr.. Innnn Theuuuu...... Rouuuuunnnnd............"
Yeeess!
" frrr. "
Rahh!!!!!!! ....!.. Je crois que c'est mort.... pour de vrai...Hebi. Il faut trouvé Hebi. Ce machin est démoniaque, c'est forcément a elle.
Ou est Hebi? Se rapeller, de quoi ont elles parlaient? "...Prof d'Histoire meme si on l'imaginerai plus volontiée completement torché la bouteille a la main beuglant "I fuck America" sur l'estrade d'un night club parisien...."
Histoire, elle est en histoire. J'arrache violament le fil qui relit la chose au mur, me faisant recouvrir de platre. Entre les chambres et les salles de cours, deux escaliers, une demi douzaine de couloires et une persone. C'est quoi un délinquant? Trainant toujours mon sinistre trophé par le fil qui le mintenait auparavant en vie, j'arrive devant une salle d'ou emane une flagrance..subtile..et delicate...de charogne en putrefaction? Ecoeurant...J'ouvre la porte a la volé, marche mécaniquement vers le pupitre de ma colocataire, La Chose raclant le sol au bout de sa laisse. La démone me regarde fixement stupéfaite. Sa doit être un étrange tableau, une Lycan habillée en nuisette blanche, recouverte de platre, tendant les restes eclatés d'un reveil a une éleve. Attente d'une réaction. Alors La Chause tu est quoi au juste?
"Je crois que je l'ai..un peu tué..."
Dans mon dos la source olfactive vien de se mouvoir. Sauf que ce n'est pas une carcasse, c'est un Homme. Et il n'est pas jeune. Et il doit etre prof. Et je vien de rentrer en plein dans son cours.
"Veuillez agréer l'expression de mes plus plats excuses pour ce dérangement inopiné, Sieur"
Sa tombe bien j'ai toujours aimée l'Histoire. J'envisage quelques seconde de me poser sur le rebord de la fenetre avant d'opter pour une solution moin indescante, a savoir la chaise a coté. Regard vers Hebi. Je veut toujours savoir ce qu'est La Chause.
 
 
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