Une déprime. Depuis cette dispute inutile. Je ne lui parle plus. Je l'ignore. Je ne devrais pas. Je devrais lui présenter mes excuses. Mais je n'en ai pas envie. Elle m'a fait souffrir alors à mon tour de la faire souffrir. Le problème, c'est l'ignorer m'enfonce un peu plus dans la noirceur et la déprime. Elle m'a aidé à m'integrer dans le lycée. Et c'est comme cela que je la remercie. Je lui ferai des excuses la prochaine fois que je la vois. C'est promis. Enfin, si j'ai le courage de l'affronter. Et si je tombe sur Aura, je ne pourrai pas le faire. J'ai un manque incroyable de courage pour cela. Je suis faible. Une faiblesse blessante. Mon esprit n'est plus très clair. Il hurle de douleur. J'ai envie de faire une petite pause. Une pause avec personne. Il faut que je remet mes idées au clair. J'en est marre de tout le monde en se moment. J'envoie les gens bouler à tout bout de champ. Il faut que j'arrive à me calmer.

Je sors tranquillement du lycée. Je n'ai croisé personne heureusement. Je marche doucement, profitant des rayons du soleil. Cela fait un bien fou. J'adore sentir la douce chaleur du soleil sur ma peau glaçée. Je me dirige vers le parc. Je m'assois sur un banc. Je ferme les yeux. La tension regnant dans mon corps, s'éloigne peu à peu. Je laisse mon corps se reposer. Les odeurs des arbres, de la pelouse, des fleurs et des gens présents sont douces et agréables. Je suis enfin calme. Cela fait plusieurs jours voir plusieurs semaines que je ne le suis plus. La tranquillité est un moment sacré. Le cadre est parfait. Je n'ai pas le courage de faire quoique ce soit. Je laisse la fleimmardise m'envahir. Mes sens sont moins précis. J'ai l'impression de redevenir humaine. Cela fait tellement du bien. Après pratiquement trois ans de d'immortalité. Une odeur de démon m'arrive. Mais je suis incapable de savoir qui c'est. Mon esprit associe alors démon à Hebi. Mon ouïe me dit que la personne est en face de moi. J'ouvre les yeux et le prénom de mon ancienne amie m'échappe. Je regarde la personne en face de moi. Ce n'est pas Hebi. C'est un homme. Il est grand et a un air terrifiant. Pour tout dire il m'intimide quelque peu. Je m'empresse de m'excuser.
"Excusez moi, je vous est confondu avec quelqu'un d'autre."

C'est une excuse stupide car maintenant je sens nettement son odeur qui bien différente de celle d'Hebi. Je baisse la tête. Je ne sais que faire et que penser. Une part de moi est en colère d'être dérangé, une autre est honteuse et l'autre est triste. Sans le vouloir une larme m'échappe. Je l'essuie du geste rapide. Je ne vais pas chialer devant cet inconnu. Non, je ne dois pas en arriver là. Je ne le supporterai pas. devant Hebi, Sid' , mon père et peut-être Elly mais sinon non. Je refuse de craquer maintenant.
Je ne regarde l'homme et je fuis son regard. Que me veut-il ?

Plus il m'observe plus je me détends. Son odeur est assez agréable je dois dire. Elle me change de celle d'Hebi qui porte constamment celle de mon père. Et cela m'énerve mais elle, elle est différente. Elle m'apaise. J'igone pourquoi mais cela me fais du bien. Je lève la tête et le regarde. Malgré son air que je trouve intimidant, je ne peux m'empêcher de fixer ses yeux. Ils sont magnifiques. Il est là à me regarder alors que je ne le connais pas. Que me veut-il ? Mon visage est détendu sauf au niveau des mes yeux tristes. Mes si on lo'bserve de plus près je sais qu'on peut voir que je m'apprettais à remettre mon masque. Heureusement qu'il est arrivé sinon le travaille de Sidney aura servit à rien. Je suis quand même mal à l'aise car j'aime pas être fixé comme cela. Je n'ai pas envie de discuter. Mon corps a retrouvé ses sens qui focntionne à deux cent à l'heure. Mon cerveau étudie l'odeur du démon en face de moi. Il faut que j'arrête. j'en peux plus. Je suisq fatiguée de devoir tenir sur mes nerfs. Ils sont en train de lâcher.
- Aucune importance, puis-je m'assoir?

Heu... Que répondre. Bien entendu qu'il peut s'assoir.
"... Oui bien sûr."

Ma voix est teintée par la surprise. Il semble gentil pour un démon. Enfin, le seul démon que je connais c'est Hebi et Aura. Elle est pas très douce. Mais, je trouve quand même cela bizarre. Je suis intriguée. Il est différent des autres.Pour la douleur et la tristesse causées par mes erreurs, je ne me repentirai pas auprès d’un mortel coupable. Maintenant je sais que je n'y arriverais pas. Le moment viendra, je retrouverai ma liberté. Ils ne peuvent pas briser ce qu’il y a à l’intérieur Je l'affronterai car c'est le coeur de toute chose. J'ouvre mes yeux. Il ne faut pas que je disparaisse et que j'abandonne, j'ouvre mes yeux. Il faut que vois ce que je suis devenue, et que je ne sacrifie rien, c'est le coeur de toute chose. Il faut qu'il reste avec moi maintenant que je l'affronte et très bintôt j'atteindrai l'autre côté. c'est vraiment le coeur de toute chose.
Je meurs d’envie de reprendre mon souffle, mais pourquoi je n'apprends jamais. j'ai perdu toute confiance, bien que j'aie essayé de tout renverser, peut-il encore voir qui je suis ? Toute ma douleur s'apaise depuis qu'il est là. Qu'il détruise se que je ne suis pas pour ce dont j'ai besion, qu'il fasse de mon coeur un endroit meilleur, qu'il me donne quelque chose que je peux croire, il a ouvert une porte et je n'ai pas envie qu'elle se referme. Me revoilà sur le fil, j'aimerai pouvoir lâcher prise, je sais que je suis proche de me détourner. J'ai essayé plusieurs fois mais rien n'étais jamais réel, qu'il fasse que tout ce qui est mauvais en moi disparaisse, qu'il le brise. je veux croire que cette fois c'est réel, qu'il me sauve de ma peur. Qu'il fasse de mon coeur un endroit meilleur...
Finalement j'ai envie de parler.
"Vous êtes de lycée ? Je ne vous ai jamais vu avant, sans vouloir être indiscrète..."

Ma voix est calme, posé et douce. Les coup de foudres existe -il ? J'y crois car j'ai l'impression que j'éprouve quelque chose de spécial pour cet homme ou plutôt ce démon.

Aucun doutes, cette femme était splendide. Elle respirait la beauté par tout les ports de sa peau, que ce soit son visage, son odeur, son corps. Wow. Je ne pensais pas à un coup de foudre, mais il n'y avait aucun doutes au fait que cette femme me plaisait vraiment, même si je ne connaissait absolument rien d'elle. Hionna avait décidée d'être silencieuse, cependant je sentais sa joie et je ne comprenais pas pourquoi. Quel joie pourrait-elle ressentir alors que je m'intéresse à une autre femme? Je ne l'interrogea pas, ce n'était pas le sujet important. L'important était que cette femme me regardais à présent, presque implorant ma présence. Ça non plus, je ne le comprenais pas. Mais je détectais la souffrance dans ses yeux. Ça ne me plaisait pas, quelqu'un d'aussi belle qu'elle ne devrait pas avoir à pleurer. Je ne le permettrais pas, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour la réconforter. Elle finit par répondre, d'une voix faible et hésitante. Moi aussi à présent, j'hésitais, pourquoi ne voudrais-t-elle pas de ma présence? Même si je ne la connaissait absolument pas, cela m'attristait.

- ... Oui bien sûr.

Amitié ou amour grandissant du cœur,
En sommes-nous que de simples spectateurs,
Ou peut être le destin eu-t-il voulu que nous en soyons les acteurs?
En toi le goût du bonheur, tu es ma liqueur.

Il n'y eut pas de blanc quand je m'assis, tu te mis aussitôt à me parler. Apparemment, je m'étais fait de fausse idées, tu avais envie que je reste. Et je resterais, aussi longtemps qu'il le faudra pour que tu te sente mieux. Je suis un homme de parole, et... Mon dieu ce que tu me plaisait, je n'étais pas fier de cela, mais à présent je ne pourrais plus me passer de toi, de ta voix, de ton odeur, sa me serait insupportable. On dirait que tu t'intéresse à moi, j'apprécie. Je t'assure, j'apprécie beaucoup, même si cela ne se voit pas sur mon visage. Ta voix, l'intonation que tu prend, tout me plait chez toi, décidément. C'est triste à dire, ayant passé aussi peu de temps avec toi. Mais savoir que tu partira peut-être bientôt ne me plaisait pas. Reste avec moi je t'en prie. Me demandes-tu cela car tu es heureuse de ne pas m'avoir vu avant? Je m'égare, c'était une question innocente.

- Vous êtes de lycée ? Je ne vous ai jamais vu avant, sans vouloir être indiscrète...

Envie de caresser ta douce peau de dieu,
Et de te couver de baisers langoureux.
Tel est notre destin,
Et ainsi sera notre fin.

Je le sais, moi aussi je ne t'ai jamais vu, penses-tu. Quelqu'un pareil à toi n'existe pas, je l'aurais rencontré au fil de mes pas. J'avais envie de te parler, de toucher ton visage. De voir toutes les expressions que ton visage peut prendre, toutes les intonations que ta voix peut prendre, tu me fascine. Je reflechissait, mais tu attendais une réponse, pardonne moi. Ton visage m'obnubile. Je ne sais plus quoi dire, quoi penser. Cette situation était très différentes pour moi. Je n'avais ressenti cela qu'une fois auparavant.

- Je suis le professeur Hellsing, j'enseigne l'art au lycée, toi non plus, je ne t'ai jamais vue.

Laisse moi faire de toi ma dulcinée,
Ma seule et unique pour l'éternité,
Nous irons ensemble vers notre avenir,
Je ferai de toi l'air que je respire,
Tu seras mon indispensable pour vivre.

- Je suis le professeur Hellsing, j'enseigne l'art au lycée, toi non plus, je ne t'ai jamais vue.

Tout se brise autour de moi comme du cristal qu'on a jeté par terre trop haut. Où sont les héros quand j'en ai besoin ? Mon crie n'est-il pas assez fort ? Où sont-il devenus sourds ? Ils ont tendance à rester hors de la pluie à penser mais ne pas agir qu'ils n'ont rien à se reprocher. Tombant et rampamt, un combat pour résister. Sa mémoir me hante toujours au bout de la nuit. Encore et encore, je me suis sentie si petite, mais un jour je serai plus forte et il devra se méfier. Je finirai par vaincre, sa violence, son silence. Oh, non, on ne peut le défaire mais je le vaincrai sachant que je suis la seule et que c'est le sel moyen de continuer. Où sont les sauveurs ? Effrayés apr le nombre de victimes ? Désolée si ùes clous entaillent son âme... Poussant et tirant, je ne cèderai jamais. Un jour je souhaite qu'il voies qu'il n'est si moche qu'il le pense... Dans mes mains, un héritage de douvenirs. je veux l'entendre prononcer mon nom, je veux voir son sourir, sentir la chaleur de son étreinte, mais il n'y a rien d'autre que le silence maintenant autour de celui que j'aimais. Sont-ce nos adieux ? Je m'inquiète trop, il vois la tristesse et l'incompréhension dans mes yeux. Je n'ai jamais pensé que ce jour viendrai si vite. Comment le monde peut-il continuer ? Je me sens si perdue quand il n'est pas là. Mon monde s'écroule et j'observe la réalité. Il faut que je repose ma tête et que je me rendorme car au final je m'en fiche qu'il soit professeur et mon élève. Non, ce ne sont pas nos adieux.

La déception se lit sur mon viage.
"C'est normal que vous ne m'avez jamais vu professeur, je n'ai pas pris art en option."

Je fais exprès d'accuenté le "professeur". Mon coeur saigne et mon âme également. J'ai échappé à mon dernière instant mais il me revient. Dans chaque recoin, je le sens qui attend. Juste un moment, aucune iconscience. Je pourrai facilement m'éloigner et partir à jamais. Je cherche, je me bas pour m'en sortir, mais je ne fais que m'éloigner. Il attend. Je sens les main du Destin qui suffoquent. Pourquoi ? Tout est dans ma tête, je n'en peux plus. Tout autour de moi je vois le danger qui se referme sur moi. A chaque seconde je l'entends respirer. je ne supporte plus la peur qui m'envahit. Car elle m'égare et ce sera ma fin.Est ve vrai ce que nous sommes trop aveugles pour trouver un chemin , La peur de l'inconnu assombrit nos coeur aujourd'hui. Qu'il voit à travers mes yeux, qu'il essaye de comprendre, je ne veux pas perdre ce que je viens d'avoir. Je rêve, mais qui peut nier ? C'est la meilleur façon de vivre entre vérité et mensonges. Qu'il voit qui je suis. Qu'il brise la surface. Qu'il me tende la main. Montrons leur que nous en sommes capables; Liberons nos esprits et trouver un chemin, le monde entre nos main Ce n'est pas la fin. La peur altère l'âme, au point de non retour? je dois être le changement que je désirais voir. J'irai dans son monde et je verrai à travers ses yeux. J'essayerai de comprende avant de le perdre.
Je suis incapable de lui parler plus tellement que ma douleur enfle dans ma poitrine. J'espère qu'il comprendra... Je cherche des réponses car quelque chose ne va pas. Je suis les signes, je suis orès du feu, je crain que bientôt, il ne dévoiles son âme dangereuse. Ses intentions se devinent dans ses yeux. Je crains son sourire et de la promesse qu'il cache. Je crains sa présence car je suis glaçée à l'intérieur. Je cherche des réponses, jamais demandées auparavant, le fardeau de la conscience. Il n'y a pas de tranquilité d'esprit comme quand il se montre sous son vrai jour. On peut voir un signe dangereux mais pas pour tout le monde. Je vois la vérité qu'il a enterrée à l'intérieur. De la pitier, je ne trouve pas la colère. Je dois juste savoir tant que j'en ai le temps. Dois-je m'enfuir ou me cacher de lui ?

Je le regarde dans les yeux. Je suis fatiguée et je ne contrôle plus ma télépathie. Je rentre inconsciemment dans sa tête. Je vois son histoire. Je n'ai plus peur de lui désormais. Je me regarde avec un regard tendre, triste et douloureux qui demande de l'aide. J'aimerai qu'il m'aide. Je me rends compte que j'ai pénétré dans son esprit. Je n'ai rien pu contrôler. J'ai tout vu et lui également. Il a vu ma transformation, la pire nuit de ma vie avec ma jument et ce lycan. Mon arrivée au lycée. L'amitier que j'entretenais avec Hebi, ma dispute avec elle également. Je ne voulais pas. une larmes puis deux coulent sur mes joues.
"Excusez-moi, je ne l'ai pas contrôlé..."

Douce tranquillité, tu es si belle, tu semble bien réfléchir un moment avant de prendre à nouveau la parole, je ne sais pas pourquoi, peut-être as-tu peur de moi. Tu pensais à quelqu'un d'autre, vu les expressions que ton visage prenait. A qui pourrais-tu penser, alors que moi je suis là devant toi? Mon cœur se serrait, arriverais-je trop tard? Y a t-il déjà quelqu'un avec qui tu penses pouvoir continuer ta route? Mon regard se faisait faible, je désespérait, tu le voyais mais tu ne disais pas mots. Ne voyais-tu pas que j'attendais avec impatience que tu me parle? Je veux te parler, je veux te comprendre, t'étudier, et je savais que tout ce que je pourrais bien découvrir, je l'aimerais car ils feront partie de toi. Tu semblait encore réfléchir, réfléchir à quoi? Cela m'attristais, j'allais me lever et partir, cela m'éviterait d'aller trop loin. Et surtout, cela te laisserait le temps de penser à ton inconnu avant la prochaine fois que nous nous verrions. Avec toutes mes pensées, je m'apprêtais à partir, je me leva légèrement quand tu repris la parole, ce qui me réjouit.

Avec toi, j'étais en sécurité
A présent, je suis comme paralysé,
Mon cœur noir,
Danse au rythme de mon désespoir.

- C'est normal que vous ne m'ayez jamais vu professeur, je n'ai pas pris art en option.

Oui, logique quand on y pense, la déception se faisait entendre dans ta voix. Ta voix si douce et belle, j'étais en extase, je ne pouvais pas te répondre tout de suite. Et d'ailleurs, que répondre à cela. Tu avais accentué le mot "professeur, pourquoi? Tu semble avoir vécu quelque chose récemment, c'est ce qui te fait réfléchir je dirais. Que peux-tu avoir vécu pour que cela te touche autant? Ça m'attristais, je voulais t'aider, mais pour cela j'attendrais que tu daigne m'en parler, car au cas ou tu ne l'aurais pas remarqué, en ce moment précis, l'on peut lire dans ton esprit aussi facilement que dans un livre, je savais très bien que quelque chose te tourmentais. Allez, dis moi donc ce à quoi tu penses. Je fixais tes lèvres, j'avais très envie de t'embrasser à ce moment précis, mais cela serait surement malvenu, je me retenu. Tu me regardais fixement à présent.

La route que je suis contraint à emprunter,
Est parsemée de flèches acérées,
Coincé à l'intérieur d'une cage rouillée,
Ailes attachées, je ne peux m'envoler.

- J...

Tu entra dans ma tête, cela n'étais pas désagréable, tu voyais à présent tout mon passé comme je voyais le tiens, nous étions liés, je ressentais tout ce que tu avais ressentis, sentais tout ce que tu avais senti, vu tout ce que tu avais vu. Pour toi c'était pareil. Nous formions une seule personne à ce moment précis. Puis tu stoppa, ton regard était implorant à présent, tu avais pitié de moi? Ou alors tu me demandais de t'aider. Je pense que tu me demandais de t'aider, vivre tout ce que tu as vécu n'étais pas aisé à supporter tout seul, je le savais. Ton amitié avec cette démone était flagrante à présent, je comprenais pourquoi tu m'avait appelé comme elle. Cependant, c'était mal pour toi, regarde l'état ou tu te trouve. Tu te mets même à pleurer, cela m'attriste aussi, je ne supporte pas de voir une femme pleurer. Pourquoi? Surement car tu viens de dévoiler tout ton passé à un simple inconnu, et qu'a la base, tu n'en avais aucune envie.

- Excusez-moi, je ne l'ai pas contrôlé...

Tu plies la lettre de ton cœur en deux,
La dissimulant du mieux que tu peux,
Elle est enfouie au plus profond de toi,
Néanmoins, tu ne l'oublieras pas.

Pourquoi t'excuses-tu, ce serait plutôt à moi de m'excuser d'avoir lu en toi de la sorte. Tu pleura de plus belles, je ne savais pas quoi faire. Si, je savais. Je la pris dans mes bras, caressant ses cheveux.
Son odeur emplissait mes narines, c'était sublime. Je n'apprécie pas le fait de connaître cela avec quelqu'un 30 minutes après que je l'aie rencontré, mais je n'ai pas pu m'en empêcher. J'appréhendais ta réaction à présent.

- Ne t'inquiète pas..

L'espoir et le désespoir. deux termes et sentiments qui se contredisent et sui ne peuvent pas être utilisé ensemble. mais pourtant, jeressens c'est deux choses là. je sais, c'est bizarre mais c'est comme ça. Le désespoire car je suis une élève, il est un professeur. L'espoir car comme je n'ai pas pris le cours qu'il enseigne, je ne l'ai pas ne tans que professeur. En faîte je crois que le doute résume bien c'est deux sentiments. je brois du noir à longueur de journée mais j'apperçois une petite lueur au bout du chemin. elle m'attire comme un aimant. Mais, sans le vouloir mes pieds frêne mon avancer. Je me pose surement trop de questions inutiles sauf peut-être deux. Pourquoi plus j'avance vers cette lueur plus j'ai l'impression que quelque chose va exploser en moi ? et pourquoi, plus cette sensation me prend, plus je me sens moi même ? Parmis toutes les questions que je me pose, ce sont sûrement les deux plus censé et celles ausquelles je n'ai point de réponse, enfin peut-être que si finallement. J'ai l'impression de me redécouvrir, de redécouvrir des choses que j'avais oublié. Mais oublié depuis combien de temps ? Depuis six mois ? Un an ? Deux ans ? Cinq ans ? Dix ans ? Mon intuition me dit que cela fait presque trois ans. Il y a trois ans... Qu'est ce qu'il s'est passé il y a trois ans ? Ah, oui c'est vrai. Fushi m'a transformée en vampire. Maos qu'elle est la relation entre ma transformation et les choses que j'aies oubliés ? C'est une question à laquelle cette fois ci, je n'ai pas du tout de réponse. MAis peut-être que lui à la réponse à ma question. En fait, je crois que mon masque n'est pas complètement tombé. Sidney a fait tomber la partie la plus facile et la plus grosse. Et lui est en train de faire tomber la dernière partie de mon masque. une partie qui m'est inconnu. C'est comme si j'avais perdu la mémoire et que je la retrouve petit à petit; des souvenirs vont peut-être me revenir ou des sensations ou encore... Et puis j'en sais rien! Je verrai bien quans ça arrivera. il faut que j'arrête de me monter la ratte au cour bouillon.

Il m'attire contre lui, me prend dans ses bras. je ne résiste pas maisje suis tendu. sa main caresse mes cheveux. Comment lui dire ce que je ressens. Je ne sais pas montrer mes sentiments autrement que pars la télépathie.
- Ne t'inquiète pas..

Mon intruision dans son esprit et le sien dans le mien ne la pas gêné et il ne m'en veux pas. Je me détends alors peu à peu, muscle par muscle. Après les ténèbres froides, dans le cœur de la forêt, où les oiseaux chantent, pour le soleil nouveau-né, dans les entrailles des feuilles, sur les branches des arbres, gît le trésor du matin. Les perles de lumière
Emportée par la brutalité de mon monde je me suis perdue en cherchant le savoir, la pluie bleue a couvert mes racines et j’ai oublié d’où je venais.Il y a un endroit au plus profond de moi, un endroit où je cache mes pêchés les plus sombres. Une atmosphère étrange règne. Elle t’entoure telle qu'il m’attire vers la vérité.Les chandelles s’éteignent quand je quitte la pièce,dans mon cœur il ne laisses pas de ténèbres. Comme til m’attire je connais la vérité.Il enlève les mains de l’ombre qui cherchent à atteindre mon âme. Maintenant, le vent froid souffle mes chandelles ne ressentant que la peur sans aucun espoir. Un millier de lunes sombres durant un milliers d’hivers,un million d’étoiles tombées, la chandelle brûle dans ses entrailles.Au-delà des collines, repose un nouveau commencement. Au-delà des collines, il y a un moyen je le sais. Il peux éclairer toutes les ténèbres. Mon cœur est effrayé et tellement vide.Il glorifies l’avenir,à vivre dans un monde différent du mien. Le voyage prend fin dans la mort. J' abandonne si facilement...Il est l’autre moitié de moi. Je n’ai pas peur de mourir tant que je suis avec toi.

Dans tous ces flots d'émotion, j'ai oublié de lui dire mon prénom.
"Izumi"
Je lui ai murmurer mon prénom tout bas. Lui seul peut l'entendre. Je suis bien dans ses bras chaud. Je me laisse aller contre lui, respirant son odeur. Je ferme les yeux pour mieux me détendre.

Comment décrire cela? Un parfait inconnu qui te tiens contre lui. Pourquoi ne fuis tu pas, ayant vu mon passé, tu pourrais imaginer qu'il ne s'agit que d'une ruse pour te tuer, bien que ce ne soit absolument pas le cas. Tu es égarée, tes pensées s'embrouillent, nul besoin de télépathie pour percevoir cela. Malheureusement pour toi tu n'es pas dans l'état auquel je suis ce qui est bien dommage, et malheureusement encore, pour toi seul le temps et la réfection pourra t'aider. Cependant, je te laisserait le temps et pour le moment, laisse moi juste rester là, avec toi, c'est la meilleure chose que j'aie eue depuis un sacré long moment. Avant que j'aille pu à nouveau placer un mot, tu t'insinuais à nouveau dans mon esprit, mais cette fois c'était volontaire, cela ce voyait à tes yeux. Ça ne me dérangeait pas, mais contrairement à la dernière fois, je ne pu rien voir, qu'un esprit perturbé et perdu, j'avais de la peine pour toi, et Dieu sait que ça ne m'arrive pas souvent.

Telle une montée de mercure,
Le désarroi arpente tes veines,
Il glisse à toute allure,
Faisant de ta vie une existence malsaine.

Une volée d'images en trombe, desquelles je ne comprends pas la signification. Des rafales d'émotions lancées comme des balles, à tout allure dans mon esprit, ce n'était plus agréable à présent, cela me faisait mal, mais je n'imagine pas pour toi. Et pour le moment malheureusement je ne peux pas t'aider, quoique, quelque chose qui m'a aidé moi même pourrais peut-être te rendre le même service. J'avais réellement envie de t'aider maintenant, car je savais que je le pouvais. Et ça me rendrait également très heureux. Avant que j'aie pu prendre la parole d'une façon peu orthodoxe et brutale, tu la pris toi, me révélant ton nom. Un joli nom, que tu porte bien. Ta façon de parler, de me regarder, laissait voir que tu attendais quelque chose de moi à présent, ce que je serrais ravi de t'offrir, je retenta donc ma chance, et repris la parole.

- Enchanté, Izumi.
J'hésitais un peu.
- Je peux t'offrir un présent immense, qui te libérera de ton poids.
- J'en doutes.
- Pourtant, lisant dans mon esprit tu devrais le savoir.

Tandis que mon cœur est en vibration,
Par-dessus mon épaule, je sens ta respiration,
T'embrasser est tentant,
Un destin si attrayant.

J'aurais voulu t'embrasser, mais je pense que profiter de la situation privilégiée dans laquelle je suis, que tu m'aie confié toutes tes pensées aussi intimes soient-elles, aurais fait de moi un profiteur, dans l'état ou tu te trouve, je pense que tu as d'autres choses à penser. Mais je peux t'aider et je vais te le prouver. J'entrepris donc mon explication écourtée de ma chirurgie mentale, qui peut ôter n'importe quoi de l'esprit d'une personne, souvenirs, craintes, sentiments négatifs, ce de que j'en faisait en général mais que je pouvais en faire pour t'aider. Tu écoutais tout avec attention, et j'attendais à présent que tu me fasse part de ta réaction.

La peur est la raison de mon désarroi,
Mon cœur me dit de revenir en arrière,
Cependant, ce n'est pas à moi de décider de ce choix,
Mais à toi, qui a placé toutes ces barrières.

Je me laisse bercer. Je suis si bien dans ses bras puissant et chaud. Il réchauffe mon cœur froid.
Je meurs d’envie de reprendre mon souffle.Oh pourquoi je n’apprends jamais ! J’ai perdu toute confiance. Bien que j’aie essayé de tout renverser. Peut-il encore voir mon cœur ? Toute ma douleur s’apaise quand il m’étreint. Il ne me détruit pas, pour ce dont j’ai besoin. Il fait de mon cœur un endroit un meilleur. Il me donne quelque chose que je peux croire. Il a ouvert une porte, il ne faut pas la laisser pas se refermer. Me revoilà sur le fil. j’aimerais pouvoir lâcher prise. Je sais que je suis proche. J’ai essayé plusieurs fois mais rien n’était jamais réel. Il fait que tout disparaisse,Il ne me brise pas. Je veux croire que cette fois c’est réel.
*Sauve moi de ma peur*

J'entends sa voix me répondre. Un faible sourire illumine mon visage. Il hésite, il ne sait pas par où commencer.
- Je peux t'offrir un présent immense, qui te libérera de ton poids.
- J'en doutes.
- Pourtant, lisant dans mon esprit tu devrais le savoir.

Je ne vois pas où, il veut en venir. Que veut-il dire ?
Je n'arrive pas à croire que ce moment soit arrivé. Il y a tellement à dire et à faire.Il est impossible de ne pas être surpris.Me pardonnera-t-il si je me sens ainsi ? Car nous venons juste de nous rencontrer ? Qu'il me qu'il est d'accord.
Je ne renonce pas. Il m'a fait ressentir des choses auxquelles je peux enfin croire. Je ne peux expliquer ce que je ressens. Non, je ne renoncerai pas.
A présent, que dirais-tu si je mettais mon cœur à nu ? Si je me dévoile car il y a quelque chose ici que je ne peux expliquer.J'ai l'impression d'avancer sous une pluie battante. Tous mes sens sont en éveil. Je ne peux résister à ton adorable, adorable sourire.Alors qu'il garde cette sensation et qu'il la fasse grandir. J'ai attendu toute ma vie. Afin de rendre ce moment tellement agréable.Le sentir près de moi m'emplis de chaleur.
"Que veux tu dire ? Je ne comprends pas..."

Sans y penser, je suis passée du vouvoiement ou tutoiement. C'est plus simple. Mais une autre question me turlupine. Il ne m'a toujours pas dit son prénom. Mais je ne dit rien. Je reste dans ses bras à écouter son cœur battre, à sentir la chaleur de son corps contre le mien. Je pense que je vais me l'avouer. Je suis tombée amoureuse de lui, et je l'aime profondément. Je n'ai jamais rien ressentis de pareil avant ou peut-être je refusais de l'admettre. Je me cale un peu plus contre son épaule. Je suis si bien contre lui. J'oublie tout.