J'aimerais te voir à cette place d'ignorance pesante et inutile. Tu vois tout ce qui ce passe, mais tu ne comprends rien, tu n'entends guère ce qu'on dit. Tu es dans ta bulle, tu ne veux pas sortir, tu es bien, là, seule, dans ton coin. Tu as peu de décevoir, c'est là, ta plus grande phobie.Tu ne veux point être oublier, mais tu t'enfonces, chaque jours un peu plus, où est donc cette enfant innocente de tout péché que tu étais autrefois ? C'est la fin pour toi. Ta bulle ne te sers qu'à être bien, elle ne te protège pas. Plus rien, ne te protège désormais. Tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même et à ton chagrin des plus désagréable. Allongée, tu pleures, tu trembles, tu te haïs toi-même, tu te rabaisses et tu t'enfonces plus bas que terre jusqu'à te retrouver six pieds sous terre. Ma pauvre, tu es écorchée vive, tu as grandis bien trop vite comparé aux autres de ta classes qui ne connaissent pas ce que tu endures. Tu te retrouves seule. Sans défense. Quand ouvriras-tu les yeux ?

C'est avec cette phrase, que son cauchemars s'arrêta. Akira ouvrit les yeux, affolée, regardant à droit où à gauche si Mike y était, il était partie, elle prit peur, plus aucun son ne voulu sortir de sa bouche, et son regard se posa sur la fenêtre. Elle laissa paraitre un soleil éblouissant. Elle soupira soulagée. Il était partie depuis une heure déjà. A peine avait-elle repris ces esprits, que la fillette sortie du lit, partie à la douche et s'habilla par la suite. Elle ne déjeuna pas, elle n'avais pas faim. Du haut de ces 11 ans, elle ne voulais pas grandir. préférant rester une petite fille, la petite fille qui habita dans ce château dans une discrétion absolue, dans l'entourage d'Akira, ils devaient être 2/3 à savoir qu'elle vivais avec Mike. Le reste, pensait juste qu'elle venais souvent, ou encore d'autre qu'elle ne connaissais pas, ne savais même pas qu'une gamine était dans les lieux.

Elle prit la direction des grands escaliers de marbre. Les couloirs étaient totalement vides, seul les professeurs dans les salles de cours se faisaient entendre. Autrement, le vide totale. Akira sortie par la grande porte du hall, et se dirigea vers le parc, hors de l'enceinte du lycée. Elle voulais changer un peu, et pas rester dans l'endroit qu'elle aimait, tout autant qu'elle détestait. Elle l'aimais, car c'était calme et qu'elle était avec Mike, et qu'elle connaissais du monde, mais elle le détestait pour toute les autres raisons. Comment dire, elle détestait l'idée de devoirs se cacher 24/24, mais elle n'avais pas vraiment le choix.. Enfin bref. Après plusieurs minutes de marche, elle arriva au parc. Il y avais plus de monde que d'habitude. Elle s'assit sous un arbre à l'ombre et éloigné. La nuit avais été mouvementé, elle décida donc de piquer un petit somme. Mais, elle ne réussis pas.

Si son visage perturbé et sa tristesse provenait que du château en lui même, sa serais agréable, malheureusement, il n'y a pas que sa, son air perturbé, elle l'a toujours eu, depuis l'orphelinat, depuis la mort de son père, elle a toujours chercher à comprendre, tout ce qui arrive, elle est sans cesse en train de penser, et c'est le fait de penser à chaque moments, que cet air est arrivé sur son visage, tellement de chose qu'elle ne comprenait pas, mais qu'elle voulait à tout prix comprendre, et pourtant, elle ne comprenait rien. Son air triste, pas besoin d'une seconde explication, c'est toujours la même raison, la crainte de perdre la seule personne qui lui ai donné l'amour du père qu'elle a perdue, même s'il n'est pas toujours présent. La fillette, l'écouta, répondre à sa question, elle tourna la tête vers Mana, pour la regarder. A nouveaux, elle la détailla des yeux.

Akira s'appuya contre le dos du banc, chacun a sa passe noire au bout d'un moment, même si cette passe dure longtemps, on finit toujours par s'en sortir, avec du mal, avec des séquelles, des souvenirs, mais le plus important c'est de jamais baisser les bras, il faut juste, s'en rendre compte très vite, avant d'être complètement paumée dans note monde sans issues, prisonnier des 7 péchés capitaux qui nous démolissent un peu plus chaque jours, se battre ... Est maitre-mot de cette bataille acharnée contre la noirceur de nos pensées envahissantes à souhait où contre volonté.. Qu'importe la raison, à chaque problème, sa solution, même les plus désespérés et les plus compliqué. Chaos complet, qu'est notre intérieur, notre état d'âme est perdue dans ce fléau qui nous bouffe, admire, et la ferme, où ferme les yeux, avance à l'aveuglette. Comme tu veux, comme tu choisis.