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 Discussion...gênante (PV Hebi)

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Izumi Highway
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MessageSujet: Discussion...gênante (PV Hebi)   Discussion...gênante (PV Hebi) EmptyMer 30 Juin 2010 - 18:55

Une douce chaleur commençait à m'envahir. Cela fait du bien. Je n'ai pas beaucoup dormis la nuit dernière. Mes oreilles bourdonnaient toujours. Les enceintes, j'avais faillis leur faire un sort. Mes yeux clos, je goûtais doucement au sommeil. Une sommeil lourd, profond. Allongé sur mon lit, mon corps était lourd, très lourd et endormis sous les draps de lin. Que du bonheur. Cela faisait plus de cinq ans que je n'avais pas fait de sieste, et je m rendais compte que cela faisait un bien fou. Je me détendais. Tous mes muscles étaient au repos. Mon esprit aussi. Je pouvais enfin me poser. Cela faisait plusieurs semaines que j'avais pas ressentis cela. En fait depuis que j'étais de nouveau moi même. C'était comme si je goûtais à un sommeil de nouveau né. Un sommeil réparateur. Je basculait tranquillement et doucement au pays des rêves et des bisounours roses ?!! Des bisounours roses ? J'avais vraiment besoin de repos car penser cela était vraiment grave. C'était comme si je voyais des éléphants bleu avec une trompette. Il faut absolument que j'arrêtais de délirer. Le silence qui m'entourait m'aidait à aussi à voir des choses pas naturel. J'entendais une douce mélodie de flûte. Qu'elle bonheur... Un joli morceaux...

BOOOOUUUUUMMMM

Je me réveillais en sursaut. D'où venait se bruit énorme et dérangeant. Cela ne venait pas de mon esprit j'en étais sûr. Je m'étais assise sur mon lit pour regarder d'où provenait le bruit. Bizarre. Tout semblait à sa place. Rien n'était tombé. J'allais me recoucher quand quelque chose percuta mon esprit. La porte. Elle était grande ouverte. Quand, je m'étais couché, elle était fermée. Je me levais en ronchonnant et sortit sur le seuil. Plus loin dans le couloir, trois imbéciles fuyaient en courant. D'accord, c'était eux. Ils n'avaient pas intérêt à repasser. Je retournais me coucher. La chambre était déserte. Hebi avait encore disparu. Je n'arriverai jamais à la coincer. Je me recouchai et commençais à tomber à nouveaux dans un profond sommeil. Je fermais les yeux et laissais mon corps s'enfoncer dans le matelas chaud et douiller. Je cachais ma tête dans l'oreiller en plume. Je respirais à fond son odeur qui me re-bascula dans le monde des rêves et des bisounours ! Ah, non. Pas les bisounours. J'avais vraiment besoin de me reposer. J'allais enfin m'endormir...

BOOOUUUUMMM

Saleté de gamin. Il n'avait jamais appris à ne pas déranger les gens qui dormais. Je me levais pour la deuxième fois, fermais la porte mais cette fois ci, je fermais à clef. Comme ça, il pourrais faire ce qu'il voulait, ils pourront pas ouvrir la porte et à moi le pays des rêves et des .... Non ! Je devais arrêter avec cela. Je retournais à mon lit et me laissais tomber dessus. J'en pouvais plus. Mes yeux se fermaient à une vitesse hallucinante et le pays des rêves m'apparut.
Midnight. Je galopais à travers les champs de blé sur ton dos. Un galop doux, régulier, souple... Tu t'arrêtais prêt d'une rivière où était transparente. Je descendis tranquillement de ton dos et plongeai mes pieds dans l'eau. Toi, tu broutais l'herbe verte, rayonnante et resplendissante. Tu t'allongeas près de moi, je me couchais sur toi. Ton pelage doux. Ta robe noir resplendissait au soleil. Une éclats magnifique. Ma main, caressant ta douce de crinière. Ton souffle chaud dans mon cou blanc. Le paradis. J'étais au paradis. Oh, ma Midnight, qu'est ce qu'on était bien. Tu étais...

BOOOUUUMMM, BOOOUUUMMM, BOOOUUUMMM !

Je réveillais encore une fois en sursaut. Qui est l'idiot qui tambourine cette porte. Si c'était encore ces gamins stupides, ils allaient en recevoir une belle. Je sautais au pied de mon lit de mauvaise humeur. Les cheveux en bataille. Des cernes sous les yeux. J'étais pas belle à voir. On frappais de plus en plus fort sur la porte. Je tournais la clef et ouvris. Je tombais sur une Hebi passablement énervé.
"Excuse moi Hebi. J'étais en train de dormir et des abrutis de gamin s'amusaient à ouvrir la porte dans un boucan pas possible alors j'ai fermé la porte !"

Sans m'occuper de mon amie, je retournais à mon lit et m'affalais dedans. Je ne pourrais décidément jamais dormir.
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MessageSujet: Re: Discussion...gênante (PV Hebi)   Discussion...gênante (PV Hebi) EmptyJeu 1 Juil 2010 - 23:03

Un après midi d'Avril...

Une princesse marche, le long du chemin, presque détendue et calme, l'air apaisé derrière ses cheveux d'un noir de jais. Je me sens à peu près bien, je crois. J'ai l'impression de ne plus sentir la blessure violente de mon coeur, cette blessure causée par la perte de cet être qui me fut aussi cher. Mais à présent, le deuil commence à faire son oeuvre... hier, j'ai enterré ma Blanche, avec tout l'amour dont j'ai pu faire preuve. Sous un chêne, son corps repose, paisible, droit et doux, ma Princesse, un vrai tombeau pour ton dernier cercueil. Ce matin, j'ai été chagrinée, en colère. Cet après midi, je t'ai vu. Dans tes bras, je suis restée. Izumi se demande sans doute ce qu'il m'est arrivé. Est-il vraiment important de lui en parler ? Peut-être, ou pas. En tout cas, je n'en ai pas le courage. Pas après tout ça. Pas après cette nuit, pas après le bonheur qui me fut donné. Pas après toute ma joie, toutes mes tendres patiences, mes tendres bonheurs. Mes plaisirs. Enfin, une douce consolation après un chagrin insurmontable. J'avais besoin de vous, de toi, surtout. Maintenant que tu es partie, je me suis demandée ce que j'allais bien pouvoir faire. Les jours sont passés. Et maintenant, je crois que je n'ai plus peur de rien. Juste... plongée dans la contemplation glacée d'un homme froid et aimant, plus vieux que moi en apparence au moins, plus haut que moi dans une hiérarchie catégorique, immoral, complètement immoral. J'y peux rien. Je l'ai pas voulu. C'est arrivé comme ça. Je t'ai vu, tu m'as énervé. Puis je t'ai aimée, comme jamais je ne l'avait fait auparavant. Ce fut troublant, curieux, une véritable torture aussi. Mais le résultat est à la hauteur de mes espérances. J'ai ce que je désire. L'amour d'un homme. Et qui plus est, l'amour d'un vampire, que j'aime en retour. Le tableau pourrait être magnifique...

... si t'étais pas amie avec la fille du BG...

Je marche dans l'herbe, je rentre seule. Il est inutile de se faire voir à l'extérieur, m'a-t-il dit. Il est entré par une autre voie. Laquelle je l'ignore. Un après midi tendre et délicat, sans escarmouche aucune. Allongés sur un banc dans le parc, une tendre romance qui me fut offerte, dans les bras l'un de l'autre, goûtant à la chaleur de l'été, à l'ombre d'un arbre, pour toi mon vampire aux mains glacées, à la peau sensible. Le soleil était au rendez-vous mais nous l'avons fui, comme notre condition nous l'ordonna. Nous avons marché, main dans la main, pris un café, bien entendu, avec lui c'était un acte à ne pas manquer. La tasse fumante à nos côtés, quelques rares sourires que tu m'adressa me donna envie de rire et de pleurer à la fois. Je me sens belle avec toi. Je me sens heureuse, comblée de bonheur et d'attentions, pleine de volupté silencieuse. Tu n'es pas le Prince charmant, mais je ne suis pas non plus une Princesse. En fait, que suis-je par rapport à toi ? Rien de bien satisfaisant. Je ne suis rien qu'un démon, quelqu'un de malfaisant. Mais pour l'heure je n'y pense plus. J'ai passé l'après midi avec lui, et c'est tout ce qui compte. Nous n'avons croisé personne du lycée, quelque chose qui nous rassura et nous fit du bien en même temps. Ce fut cela qui demeura le déclic en nous. Il n'y avait pas de mots à dire, en fait. Rien de vraiment important. Nos yeux se disaient ce qu'il y avait à dire. Le reste, ce n'était que des façades sans importances. En fait, je crois que je me sens bien. Pour la première fois, depuis mon entrevue avec Sidney, dans la piscine. Ici, c'est mon lieu de Rédemption. J'ai trouvé des gens à ma mesure, que j'aime et qui m'aiment. Mais est-ce que cela va durer ? Et si ça dure, combien de temps ?

Le temps qu'il faudra. Avant la mort.

J'entre par la grande porte. Mon seul besoin pour le moment est de dormir. Je veux me reposer, entre mes draps, m'allonger, fermer les yeux et mourir pendant quelques heures, adonner mon corps à des rêves tendres, si toutefois c'est possible. J'ai été stupide mais amoureuse. Bête mais intelligente dans ma connerie. J'ai cherché plus près, plus loin, toujours, encore. J'ai voulu voir la lumière, dans ma paisible agonie. A présent je monte les marches, calme et sereine, déjà prête à m'étendre sur mon cercueil et m'endormir, me plonger dans l'irréel et l'incompréhensible. C'est comme un besoin pour moi que celui de me détendre après une journée de pure et d'intense bonheur, en ta compagnie. l'Immortel, comme tu t'appelles si bien. J'ai envie de continuer. Et si je ne dormais pas dans ma chambre, cette nuit ? J'y songerai plus tard. D'abord, se reposer, le corps paisiblement allongé, éteint, en pause. Je vais respirer lentement, et ne plus faire de cauchemars, comme j'en ai fait tant de nuit, revoyant encore et encore la gorge tranchée de mon Amour disparu,le sang dégoulinant de son corps, la vidant de ses énergies... Atteignant le dortoir. ça y est, je suis prête. Prête à être heureuse. Je suis prête à ressentir dans le plus profond de ma chair le délice du repos. Ma main, sur la poignée. Mais... c'est bloqué ? Quelqu'un a fermé la porte à clef, m'empêchant de rejoindre mon lit, donc mon sommeil, donc de me rendre plus contente que je le suis déjà, donc me compliquant ma vie. Mon sourire légèrement béat se transforme en grimace de mécontentement, tandis que ma main frappe, de plus en plus fort. Ashae... c'est encore toi qui nous fait un caprice de Diva ? Tu vas m'entendre. Un grincement de serrure, ma main stoppe sa course à mi-chemin entre la porte et l'air ambiant, élan coupé. Ouvrez-moi. Je veux pioncer.

Egoïste...

La porte s'ouvre. Un visage fin, poupin, devant moi, un visage fermé et fatigué, un visage que je ne connais que trop bien. Izumi. D'un seul coup, toute la magie de ma journée s'arrête ; elle est là, face à moi, son regard légèrement perdu dans le vague, un air contrarié, une moue sur sa fine bouche, celle qui m'a pourtant si souvent souri. Izumi. Je ne veux pas te faire du mal. Tu es si gentille et si douce. Comment puis-je te faire ça ? Est-ce que je devrais tout arrêter, pour toi ? Mais qui dois-je protéger, en vérité ? Lui, ou toi ? Qui dois-je écouter, comment le dois-je et pourquoi ? Tu me marmonnes des excuses pour la porte, mais je n'en ai cure à l'instant. Sans un regard, tu retournes t'allonger, épuisée et lasse, lasse de quelque chose que j'ignore, mais dont je devine être la cause. J'imagine que tu l'as deviné. J'imagine que tu sais, pas tout, mais tu sais. Tout est de ma faute. J'aurais dû contrôler mes émotions. Et tu n'aurais rien appris. Izumi... vraiment. Je ne veux pas te faire du mal. J'avance dans la chambre à pas longs, ma robe flottant derrière moi, mes rangers claquant sur le plancher ciré. La porte se ferme avec un claquement violent, et je t'entends grogner, encore une fois. La fenêtre, ouverte. Je me place devant, regarde un moment le soleil, tandis que le vent ébourriffe mes cheveux... ce vent, qui une fois passé par moi, atteint le nez d'Izumi, à l'odorat si développé. Encore une boulette. Je m'écarte violemment de la fenêtre. J'avais oublié que sur tout mon corps, l'odeur de Fushi avait pris place. Une après midi entre ses bras est bien suffisante. Honteuse, je cherche quelques affaires propres dans le monceau de vêtements épars, près de mon lit. Je bredouille. Lentement.

"Je... je crois que... qu'il vaut mieux que j'aille prendre une douche..."

Non pas que cette odeur me soit désagréable, mais pour elle j'imagine que c'est une torture. L'odeur de son propre père, sur la peau de son amie... non, vraiment. Je devrais avoir honte. J'amasse serviette, savon et vêtements entre mes bras, et décide de sortir. Mais je ne peux pas franchir la porte. Je n'y arrive pas. Et pour cause. Izumi, s'est redressée sur son lit. Les yeux grands ouverts, elle me fixe. Longuement. D'un regard que je n'arrive pas à déchiffrer. Je n'arrive pas à soutenir son regard, trop honteuse, trop triste pour lui dire quoi que ce soit. Elle me regarde et me regarde encore, je m'imagine mon odeur et la sienne entrant dans ses narines, provoquant en elle une véritable torture... non, elle est pas en colère. Elle est pas en colère contre moi. Dans cinq minutes elle me sourira. Elle viendra à mon secours. Elle ne peut pas m'en vouloir. Elle m'aime trop pour ça pas vrai ?

Sur ce coup, tu n'es vraiment qu'une catin.

Je sais. Je baisse la tête, les yeux rivés sur le contenu de mes bras. Mes affaires de toilette. Que puis-je regarder d'autre ? Je n'ai pas assez de cran pour croiser tes yeux, Izumi. Ma bouche se ré-ouvre une deuxième fois, une voix timide et tremblante, qu'elle n'a jamais entendu sortant de ma bouche, c'est certain... je n'ai jamais été aussi vulnérable... Izumi.

"Me regarde pas comme ça, s'il te plaît..."
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MessageSujet: Re: Discussion...gênante (PV Hebi)   Discussion...gênante (PV Hebi) EmptyVen 2 Juil 2010 - 9:28

Je tente vainement de replonger dans les bras de Morphée. Mais la présence d'Hebi me trouble. Elle est devant la fenêtre d'après ce que je peux ressentir dans l'espace de la chambre. Il y a un coup de vent et une odeur m'envahit les narines. Une odeur bien particulière, celle de Hebi mélangé à une autre. L'autre odeur quasi identique à la mienne. Mon père. Elle était encore avec mon père. Voilà, où elle avait passé la journée. Elle l'avait passé avec lui. Non, je ne suis pas jalouse...enfin... peut-être un petit peu. Et dire que c'est moi qui est poussé Hebi à lui dire se qu'elle ressentais pour lui. Enfin, ce n'était pas vraiment moi, c'était mon masque qu'il lui avait dit. Mais il n'est plus là. Donc, maintenant je pense se que je veux et mes sentiments sont les miennes. Et là je suis légèrement de jalouse. Elle passe plus de temps avec lui que moi je n'en passe avec lui. D'ailleurs, cela fait bien trois moi, que je ne suis pas allée le voir et que je ne lui ai parlé. Mais quand même. Une once de colère grandit en moi. Non, Hebi, il ne faut qu'elle s'attende un sourire de ma part. Je ne sourirai pas aujourd'hui. Je me redresse et la fixe. Oui, je la fixe. Encore et encore. J'attends une explication. Une valable pas le coup qu'elle vient de me aire en me disant qu'elle allait prendre une douche. Non et non. Si, le fallait elle n'irait pas prendre de douche avant que je ne sache se que je veux savoir. Quitte à me prendre une autre gifle de sa part, quitte à se qu'Aura prenne possession de son corps, je ne la laisserai pas accéder à la salle de bain. Elle sens que je la fixe, elle s'arrête. Bien, maintenant elle va s retourner et tous me dire. Elle retourne et me regarde mais elle baisse les yeux devant mon regard froid. Je sais qu'elle espère un sourire, je sais qu'elle a honte. Même sans user de ma télépathie, je peux lire en elle comme dans un livre ouvert. Elle ne veut pas croiser mon regard. Je lui fait peur ? Je m'en doute. Faire peur à Hebi, jamais. Elle ouvre la bouche et daigne enfin à me parler.
"Me regarde pas comme ça, s'il te plaît..."

Le son qui sort de sa bouche n'est pas le même que d'habitude. Il est timide et tremblotant. Donc, j'en déduit qu'elle a peur de ma réaction. Elle ne veut pas que je la regarde comment. Elle s'attends peut-être à que je lui saute dans les bras. Et ben non Hebi, non. J'ai changé, je ne suis plus la Izumi d'avant. Je croyais que elle l'avait compris avec l'enterrement de Mana. Mais visiblement non. Elle ne l'avait vu. J'ai ouvert les yeux et fait tomber mon masque. Désormais fasse à elle il y a la vrai Izumi. Et non celle qu'elle a rencontré le premier jour. Je suis différente et il faut qu'elle sens aperçoive. Que dire.
"Tu veux que je te regarde comment. Tu veux quand même pas que je te saute dans les bras ? Non. Ouvre les yeux Hebi. Regarde moi. Suis-je comme avant. Si tu trouves tu comprendras pourquoi je te regarde de cette façon !"

Je me lève et à mon tour je me dirige vers la fenêtre admirer les derniers rayons de soleil. Dans ma gorge une boule c'est formée. Les larmes sont au bord de mes yeux. Hebi... Elle me fait souffrir elle aussi. Autant, lui que elle. J'ai rarement ressentis de la haine envers quelqu'un mais là, j'en ressens une envers mon père et envers elle. Le silence a pris soudainement la chambre. Un silence de plombs, lourd et gênant. Je ne craquerai pas pour ses beaux yeux. Je veux qu'elle craque avant moi. Pour une fois, je veux être plus forte qu'elle. Et j'ai trouvé son point faible. J'ai trouvé l'un des sujets où la démone est faible. Je vais pouvoir triompher. Je lui tourne toujours le dos. Ma tête bouillonne. Si je n'évacue pas se trop plein dans la soirée, je risque de devenir chèvre.
"Les gens change mais moi je n'ai pas changé, si c'est cela que tu penses. Je suis toujours la même mais avec quelque chose en moins. Une chose, que j'ai jeté pour être moi même..."

Que vas t'elle répondre à cela ? Je l'ignore mais j'ai une petite idée sur la question...
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MessageSujet: Re: Discussion...gênante (PV Hebi)   Discussion...gênante (PV Hebi) EmptyVen 2 Juil 2010 - 16:57